Les chroniques d'Edimbourg. 44 scotland street - Edimbourg express - l'amour en kit

Par : Alexander McCall Smith

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  • Nombre de pages1113
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.7 kg
  • Dimensions13,0 cm × 18,7 cm × 5,1 cm
  • ISBN978-2-264-05935-2
  • EAN9782264059352
  • Date de parution04/07/2013
  • Collection10/18
  • Éditeur10/18

Résumé

Dans la droite lignée des Chroniques de San Francisco d'Armstead Maupin, Alexander McCall Smith nous embarque dans les quartiers bohèmes d'Edimbourg. Avec humour et tendresse, il dépeint la vie fantasque des habitants du 44 Scotland Street, une joyeuse tribu de personnages bigarrés, révélant une fois encore ses talents de conteur.
Dans la droite lignée des Chroniques de San Francisco d'Armstead Maupin, Alexander McCall Smith nous embarque dans les quartiers bohèmes d'Edimbourg. Avec humour et tendresse, il dépeint la vie fantasque des habitants du 44 Scotland Street, une joyeuse tribu de personnages bigarrés, révélant une fois encore ses talents de conteur.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Livre de vacances
Voici un livre délicieux , destiné à se détendre , à conseiller particulièrement pendant la période estivale. Dans cette ville écossaise , des individus , touchant par leurs sentiments montrent avec ironie, tendresse parfois la réalité de la vie.
Voici un livre délicieux , destiné à se détendre , à conseiller particulièrement pendant la période estivale. Dans cette ville écossaise , des individus , touchant par leurs sentiments montrent avec ironie, tendresse parfois la réalité de la vie.
  • Drôle
  • Ironique
  • XXIe siècle
  • Irène
  • Attendrissant
  • Bertie
  • Edimbourg
  • Matthew
  • Domenica et les autres
  • Distrayant
Du plaisir au détachement
Ce pavé – plus de 1000 pages – regroupe trois livres qui compilent chacun les chroniques publiées dans un journal écossais « The Scotsman » suite à une remarque de l’auteur jetée en l’air lors d’une discussion et reprise au vol comme pari par un rédacteur dudit journal. .Il faut donc imaginer le lecteur de ce quotidien, « The Scotsman », lire entre les nouvelles, bonnes ou mauvaises, du monde une chronique qui, d’après le dictionnaire CNRTL, est un « récit mettant en scène des personnages réels ou fictifs, tout en évoquant des faits sociaux et historiques authentiques, et en respectant l'ordre de leur déroulement ». Cette compilation de chroniques donne un certain rythme : petit chapitre (mais peut-on encore appeler chapitre ?) de 2 à 3 pages qui nous promène d’un personnage à l’autre ou d’une situation à l’autre avec quelques mots de remise en situation au cas où vous auriez manqué la chronique de la veille enfin pour les lecteurs du journal, ou pour ceux qui ne parviennent pas à lire régulièrement pour raisons multiples ou diverses. Les personnages principaux sont croustillants certains dans l’insupportable, d’autres dans l’aimable (dans son sens « Qui a de quoi plaire et attirer »). Pat, étudiante en 2ème année sabbatique qui est un peu perdue dans sa vie. Bernie enfant prodige de 6 ans qui se voit voler son enfance de petit garçon par sa mère, Irene, névrosée qui a son « projet Bernie », ambition démesurée d’une enfance dénaturée. Domenica, femme à la soixantaine qui a (eu) une vie riche et qui adore parler de choses et d’autres toujours dans la plus grande courtoise. Argus, peintre (portraitiste) sans grand succès avec son chien Cyril qui boit de la bière dans une soucoupe ou du café sous la table. Matthew, trentenaire qui est un raté aux yeux de beaucoup et surtout de son père mais peut-être que … Bruce, le playboy narcissique (pour les 2 premiers livres). Et d’autres qui ne font que passer. Tout commence au 44 Scotland Street par une visite d’un appartement pour une colocation au dernier étage et tout se termine au même numéro, au même étage mais dans l’appartement d’en face. Entre, tout ce petit monde se côtoie, se croise, se parle ou non. Si j’ai avalé les deux premiers livres, le troisième a été plus revêche et à partir des pages 900 (ou même peut-être avant) le plaisir d’ouvrir le livre n’était plus vraiment là. J’ai ressenti un certain essoufflement … les chroniques m’ont apparu moins savoureuses, certaines un peu plus abracadabrantes, d’autres « cousues de fil blanc » … Dommage.
Ce pavé – plus de 1000 pages – regroupe trois livres qui compilent chacun les chroniques publiées dans un journal écossais « The Scotsman » suite à une remarque de l’auteur jetée en l’air lors d’une discussion et reprise au vol comme pari par un rédacteur dudit journal. .Il faut donc imaginer le lecteur de ce quotidien, « The Scotsman », lire entre les nouvelles, bonnes ou mauvaises, du monde une chronique qui, d’après le dictionnaire CNRTL, est un « récit mettant en scène des personnages réels ou fictifs, tout en évoquant des faits sociaux et historiques authentiques, et en respectant l'ordre de leur déroulement ». Cette compilation de chroniques donne un certain rythme : petit chapitre (mais peut-on encore appeler chapitre ?) de 2 à 3 pages qui nous promène d’un personnage à l’autre ou d’une situation à l’autre avec quelques mots de remise en situation au cas où vous auriez manqué la chronique de la veille enfin pour les lecteurs du journal, ou pour ceux qui ne parviennent pas à lire régulièrement pour raisons multiples ou diverses. Les personnages principaux sont croustillants certains dans l’insupportable, d’autres dans l’aimable (dans son sens « Qui a de quoi plaire et attirer »). Pat, étudiante en 2ème année sabbatique qui est un peu perdue dans sa vie. Bernie enfant prodige de 6 ans qui se voit voler son enfance de petit garçon par sa mère, Irene, névrosée qui a son « projet Bernie », ambition démesurée d’une enfance dénaturée. Domenica, femme à la soixantaine qui a (eu) une vie riche et qui adore parler de choses et d’autres toujours dans la plus grande courtoise. Argus, peintre (portraitiste) sans grand succès avec son chien Cyril qui boit de la bière dans une soucoupe ou du café sous la table. Matthew, trentenaire qui est un raté aux yeux de beaucoup et surtout de son père mais peut-être que … Bruce, le playboy narcissique (pour les 2 premiers livres). Et d’autres qui ne font que passer. Tout commence au 44 Scotland Street par une visite d’un appartement pour une colocation au dernier étage et tout se termine au même numéro, au même étage mais dans l’appartement d’en face. Entre, tout ce petit monde se côtoie, se croise, se parle ou non. Si j’ai avalé les deux premiers livres, le troisième a été plus revêche et à partir des pages 900 (ou même peut-être avant) le plaisir d’ouvrir le livre n’était plus vraiment là. J’ai ressenti un certain essoufflement … les chroniques m’ont apparu moins savoureuses, certaines un peu plus abracadabrantes, d’autres « cousues de fil blanc » … Dommage.