Les Castillon du Perron. De la Touraine à la Charente ; De Nantes à Bordeaux ; Une dynastie de négociants

Par : Philippe Barbet

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages395
  • PrésentationBroché
  • Poids0.65 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN2-86496-128-8
  • EAN9782864961284
  • Date de parution22/12/2004
  • ÉditeurChristian (Editions)

Résumé

Les premiers Castillon officiellement connus sont originaires d'Azay-le-Rideau en Touraine, où ils possédaient un certain nombre de fiefs : Les Roches, La Tendrinière, Le Gerfault, La Couisnière... Dès avant la fin du XVIe siècle, avant même que l'un d'entre eux ne songe à ajouter à son patronyme le nom d'un autre de leurs fiefs, Le Perron, ils étaient marchands et vendaient les produits de leurs terres. Au XVIIIe siècle, ils devinrent négociants lorsque deux d'entre eux partirent à Nantes, puis à Bordeaux armer des bateaux et commercer avec Saint-Domingue. Mais, la révolte des noirs et la condamnation à mort sous la Terreur de l'un d'eux, Abraham, mirent fin à l'entreprise. La plupart des descendants de celui-ci quittèrent alors le port de la Lune et ses odeurs d'épices pour remonter vers les rives apaisées de la Charente, " la plus belle rivière de France ". Là, que ce soit à Tonnay-Charente ou à Cognac, avec d'autres familles avec lesquelles ils tissèrent des liens, ils participèrent à l'épopée, tout au long du XIXe siècle de cette fameuse eau-de-vie ambrée, le cognac, qui fit la richesse de cette région. Leurs armes sont " de gueule à trois tours d'argent 2 et I " qu'ils transformèrent sur l'étiquette de leurs bouteilles en trois tonneaux.
Les premiers Castillon officiellement connus sont originaires d'Azay-le-Rideau en Touraine, où ils possédaient un certain nombre de fiefs : Les Roches, La Tendrinière, Le Gerfault, La Couisnière... Dès avant la fin du XVIe siècle, avant même que l'un d'entre eux ne songe à ajouter à son patronyme le nom d'un autre de leurs fiefs, Le Perron, ils étaient marchands et vendaient les produits de leurs terres. Au XVIIIe siècle, ils devinrent négociants lorsque deux d'entre eux partirent à Nantes, puis à Bordeaux armer des bateaux et commercer avec Saint-Domingue. Mais, la révolte des noirs et la condamnation à mort sous la Terreur de l'un d'eux, Abraham, mirent fin à l'entreprise. La plupart des descendants de celui-ci quittèrent alors le port de la Lune et ses odeurs d'épices pour remonter vers les rives apaisées de la Charente, " la plus belle rivière de France ". Là, que ce soit à Tonnay-Charente ou à Cognac, avec d'autres familles avec lesquelles ils tissèrent des liens, ils participèrent à l'épopée, tout au long du XIXe siècle de cette fameuse eau-de-vie ambrée, le cognac, qui fit la richesse de cette région. Leurs armes sont " de gueule à trois tours d'argent 2 et I " qu'ils transformèrent sur l'étiquette de leurs bouteilles en trois tonneaux.