A la façon du Café de Flore à Paris, Le Péano était à Marseille l'endroit des retrouvailles, des arts, de l'amitié, de la tolérance et du partage... Un endroit pour ceux de la " bohème " qui se plaisaient à esquisser un dessin ou rédiger quelques vers sur le coin de la table, portés par la bonne humeur du patron, tantôt bistrotier, tantôt mécène... Au temps de la guerre et de la reconstruction, on y croisait ainsi Pierre Ambrogiani, Antoine Serra, Arsène Sari, Antoine Ferrari, Hubert Aicardi, Antoine Gianelli, Jo Berto, Edgar Mélik, René Seyssaud, Auguste Chabaud... et bien d'autres. Les Editions Autres Temps et la Fondation Regards de Provence leur rendent ici l'hommage qui leur est dû. Les textes de Jean-Baptiste Nicolaï, critique d'art, font revivre avec chaleur et talent ces peintres de la couleur qui firent rayonner les lumières du Sud.
A la façon du Café de Flore à Paris, Le Péano était à Marseille l'endroit des retrouvailles, des arts, de l'amitié, de la tolérance et du partage... Un endroit pour ceux de la " bohème " qui se plaisaient à esquisser un dessin ou rédiger quelques vers sur le coin de la table, portés par la bonne humeur du patron, tantôt bistrotier, tantôt mécène... Au temps de la guerre et de la reconstruction, on y croisait ainsi Pierre Ambrogiani, Antoine Serra, Arsène Sari, Antoine Ferrari, Hubert Aicardi, Antoine Gianelli, Jo Berto, Edgar Mélik, René Seyssaud, Auguste Chabaud... et bien d'autres. Les Editions Autres Temps et la Fondation Regards de Provence leur rendent ici l'hommage qui leur est dû. Les textes de Jean-Baptiste Nicolaï, critique d'art, font revivre avec chaleur et talent ces peintres de la couleur qui firent rayonner les lumières du Sud.