Les abréviations françaises et latines XIVe-XVIIIe siècles
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- Nombre de pages175
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.454 kg
- Dimensions16,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-35077-398-8
- EAN9782350773988
- Date de parution24/02/2022
- CollectionGuides de généalogie
- ÉditeurArchives & Culture
Résumé
Retracer une généalogie, une histoire familiale ou une biographie, c'est très vite être amené à lire des écritures manuscrites, qu'il s'agisse de correspondances, d'actes d'état civil, de registres paroissiaux ou de minutes de notaires. Déchiffrer des textes écrits à la main est une première difficulté, pour nous qui sommes habitués à ne lire que des imprimés. Mais l'usage considérable d'abréviations par les scribes de l'Ancien Régime est une seconde difficulté, majeure celle-ci, car si l'entrainement à la lecture de pages manuscrites fait disparaître le premier écueil, la méconnaissance des abréviations peut laisser les textes totalement hermétiques.
D'où l'utilité de ce dictionnaire des abréviations courantes utilisées du XIVe au XVIIe siècles, rédigé au XIXe siècle et réimprimé ici. Il donne non seulement les abréviations présentes dans les documents en français, mais aussi dans ceux rédigés en latin, qui existent en archives pour certaines périodes ou régions. Cet ouvrage est par conséquent un outil indispensable au généalogiste comme à l'historien.
D'où l'utilité de ce dictionnaire des abréviations courantes utilisées du XIVe au XVIIe siècles, rédigé au XIXe siècle et réimprimé ici. Il donne non seulement les abréviations présentes dans les documents en français, mais aussi dans ceux rédigés en latin, qui existent en archives pour certaines périodes ou régions. Cet ouvrage est par conséquent un outil indispensable au généalogiste comme à l'historien.
Retracer une généalogie, une histoire familiale ou une biographie, c'est très vite être amené à lire des écritures manuscrites, qu'il s'agisse de correspondances, d'actes d'état civil, de registres paroissiaux ou de minutes de notaires. Déchiffrer des textes écrits à la main est une première difficulté, pour nous qui sommes habitués à ne lire que des imprimés. Mais l'usage considérable d'abréviations par les scribes de l'Ancien Régime est une seconde difficulté, majeure celle-ci, car si l'entrainement à la lecture de pages manuscrites fait disparaître le premier écueil, la méconnaissance des abréviations peut laisser les textes totalement hermétiques.
D'où l'utilité de ce dictionnaire des abréviations courantes utilisées du XIVe au XVIIe siècles, rédigé au XIXe siècle et réimprimé ici. Il donne non seulement les abréviations présentes dans les documents en français, mais aussi dans ceux rédigés en latin, qui existent en archives pour certaines périodes ou régions. Cet ouvrage est par conséquent un outil indispensable au généalogiste comme à l'historien.
D'où l'utilité de ce dictionnaire des abréviations courantes utilisées du XIVe au XVIIe siècles, rédigé au XIXe siècle et réimprimé ici. Il donne non seulement les abréviations présentes dans les documents en français, mais aussi dans ceux rédigés en latin, qui existent en archives pour certaines périodes ou régions. Cet ouvrage est par conséquent un outil indispensable au généalogiste comme à l'historien.