Léonard de Vinci et l'art de la gravure. Traduction, interprétation & réception

Par : Laure Fagnart, Stefania Tullio Cataldo
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  • Nombre de pages302
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.494 kg
  • Dimensions23,1 cm × 27,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN978-2-35906-435-3
  • EAN9782359064353
  • Date de parution27/06/2024
  • ÉditeurLienart

Résumé

Aux XVIe et XVIIe siècles, l'estampe participe à la renommée d'un artiste. Elle fut l'alliée d'Andrea Mantegna ou de Raphaël, qui s'associèrent à des graveurs professionnels afin de promouvoir leur travail. Léonard de Vinci cultiva quant à lui une relation paradoxale face à l'art de la gravure. S'il n'a vraisemblablement jamais manié le burin, ses écrits montrent qu'il fut tenté d'en perfectionner la technique.
Il conçut également l'illustration gravée du De divina proportione de Luca Pacioli, et songea à illustrer un Traité d'anatomie de gravures. Il n'empêche, Léonard ne semble pas avoir voulu contrôler la reproduction gravée de ses oeuvres, ni même l'avoir encouragée. De son vivant, seule la Cène fut traduite en estampe. Quelques dessins du Florentin firent aussi l'objet d'interprétations gravées, ce qui permit la circulation de ces modèles.
Mais il faudra attendre la seconde moitié du XVIe siècle et le début du siècle suivant pour que les autres chefs-d'oeuvre du maître suscitent l'attention des graveurs. Raconter cette histoire est le défi du présent ouvrage.
Aux XVIe et XVIIe siècles, l'estampe participe à la renommée d'un artiste. Elle fut l'alliée d'Andrea Mantegna ou de Raphaël, qui s'associèrent à des graveurs professionnels afin de promouvoir leur travail. Léonard de Vinci cultiva quant à lui une relation paradoxale face à l'art de la gravure. S'il n'a vraisemblablement jamais manié le burin, ses écrits montrent qu'il fut tenté d'en perfectionner la technique.
Il conçut également l'illustration gravée du De divina proportione de Luca Pacioli, et songea à illustrer un Traité d'anatomie de gravures. Il n'empêche, Léonard ne semble pas avoir voulu contrôler la reproduction gravée de ses oeuvres, ni même l'avoir encouragée. De son vivant, seule la Cène fut traduite en estampe. Quelques dessins du Florentin firent aussi l'objet d'interprétations gravées, ce qui permit la circulation de ces modèles.
Mais il faudra attendre la seconde moitié du XVIe siècle et le début du siècle suivant pour que les autres chefs-d'oeuvre du maître suscitent l'attention des graveurs. Raconter cette histoire est le défi du présent ouvrage.
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49,00 €