Leçons sur Kant. La déduction transcendantale dans la deuxième édition de la Critique de la raison pure
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- Nombre de pages133
- PrésentationBroché
- Poids0.23 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-85944-569-0
- EAN9782859445690
- Date de parution01/02/2007
- CollectionPhilosophie
- ÉditeurPublications de la Sorbonne
Résumé
Dans la " déduction transcendantale " - pièce centrale de l'édifice de la Critique de la raison pure - Kant cherche à résoudre le problème du rapport de la pensée à l'être. Soucieux de parvenir à une explication intelligible et concluante de la possibilité de cette relation, le philosophe a reformulé à diverses reprises sa solution du problème. Malgré cela, le texte présente bien des difficultés qui ont fait l'objet de nombreuses interprétations. La " déduction " devient cependant plus accessible, si l'on tient compte du fait qu'elle est structurée autour d'un principe fondamental : le " principe de l'aperception ", selon lequel toutes les représentations doivent être constituées de telle manière qu'elles puissent appartenir à un sujet unique. A partir d'un commentaire des paragraphes 15 à 27 de la Critique de la raison pure, le présent travail se propose de montrer que, pris comme fil conducteur, ce " principe de l'aperception ", qui s'enrichit progressivement tout au long du texte, permet de restituer l'enchaînement rigoureux de l'argumentation kantienne.
Dans la " déduction transcendantale " - pièce centrale de l'édifice de la Critique de la raison pure - Kant cherche à résoudre le problème du rapport de la pensée à l'être. Soucieux de parvenir à une explication intelligible et concluante de la possibilité de cette relation, le philosophe a reformulé à diverses reprises sa solution du problème. Malgré cela, le texte présente bien des difficultés qui ont fait l'objet de nombreuses interprétations. La " déduction " devient cependant plus accessible, si l'on tient compte du fait qu'elle est structurée autour d'un principe fondamental : le " principe de l'aperception ", selon lequel toutes les représentations doivent être constituées de telle manière qu'elles puissent appartenir à un sujet unique. A partir d'un commentaire des paragraphes 15 à 27 de la Critique de la raison pure, le présent travail se propose de montrer que, pris comme fil conducteur, ce " principe de l'aperception ", qui s'enrichit progressivement tout au long du texte, permet de restituer l'enchaînement rigoureux de l'argumentation kantienne.