Le virus de la vie

Par : Trabut Christian

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  • Nombre de pages156
  • PrésentationBroché
  • Poids0.32 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN978-2-919483-90-7
  • EAN9782919483907
  • Date de parution01/06/2021
  • CollectionPioche
  • ÉditeurECHAPPEE BELLE

Résumé

Christian Trabut est un drôle de lascar. En premier lieu, sachez que je ne lui confierais pas ma fille. Mon bateau, à la rigueur, pour qu'il puisse à nouveau m'embarquer dans une de ses aventures loufoques. Je dois reconnaître que c'est un habile capitaine, un roué qui a le don de savoir enrôler son équipage. Après avoir été séduit par quelques phrases bien tournées et des anecdotes plutôt cocasses, le lecteur candide que j'étais, éméché par des sentences enjôleuses bien servies, fut rudement embarqué après avoir lu quelques pages de cet étrange roman où le personnage principal s'éclipse dès la fin du premier chapitre, aussitôt remplacé par une cohorte d'individus qui passent à l'abordage, vous attrapent par la manche, les sentiments et la langue.
Une escarmouche de flibustiers qui vous secoue et vous laisse un goût de poudre dans la bouche, des échardes sur les mains et des étoiles dans les rétines. De la poudre aux yeux ! Une véritable escroquerie. Pensez ! Ce lascar à la langue bien pendue voudrait nous faire croire qu'à la fin du dix-neuvième siècle les animaux empaillés du Muséum d'histoire naturelle seraient revenus à la vie...
Christian Trabut est un drôle de lascar. En premier lieu, sachez que je ne lui confierais pas ma fille. Mon bateau, à la rigueur, pour qu'il puisse à nouveau m'embarquer dans une de ses aventures loufoques. Je dois reconnaître que c'est un habile capitaine, un roué qui a le don de savoir enrôler son équipage. Après avoir été séduit par quelques phrases bien tournées et des anecdotes plutôt cocasses, le lecteur candide que j'étais, éméché par des sentences enjôleuses bien servies, fut rudement embarqué après avoir lu quelques pages de cet étrange roman où le personnage principal s'éclipse dès la fin du premier chapitre, aussitôt remplacé par une cohorte d'individus qui passent à l'abordage, vous attrapent par la manche, les sentiments et la langue.
Une escarmouche de flibustiers qui vous secoue et vous laisse un goût de poudre dans la bouche, des échardes sur les mains et des étoiles dans les rétines. De la poudre aux yeux ! Une véritable escroquerie. Pensez ! Ce lascar à la langue bien pendue voudrait nous faire croire qu'à la fin du dix-neuvième siècle les animaux empaillés du Muséum d'histoire naturelle seraient revenus à la vie...