Le Vielleur au chien. Une lecture de Le Vielleur au chien, vers 1620, de Georges de La Tour, musée du Mont-de-Piété, Bergues
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- Nombre de pages28
- PrésentationBroché
- Poids0.095 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-918698-11-1
- EAN9782918698111
- Date de parution29/09/2011
- CollectionEkphrasis
- ÉditeurInvenit (Editions)
Résumé
L'académicien Philippe Beaussant, romancier et essayiste, met son amour du baroque au service du joyau du musée de Bergues, Le Vielleur au chien de Georges de La Tour, peintre décédé brutalement en 1652, qui ne sera redécouvert qu'au début du XXe siècle. Philippe Beaussant éclaire pour nous la perception de ce peintre de la lumière qui, à travers la représentation d'un aveugle, peint un homme qui porte la nuit au fond de son âme.
Même la musique semble prisonnière de sa vielle, l'instrument des pauvres, qui ne permet que quelques notes et simples mélodies. La Tour parvient pourtant à transfigurer la lumière, offrant au vieil homme "quelque chose de plus serein dans la manière même qu'il a de vous envoyer son chant que vous écoutez sans l'entendre, comme il vous regarde sans vous voir".
Même la musique semble prisonnière de sa vielle, l'instrument des pauvres, qui ne permet que quelques notes et simples mélodies. La Tour parvient pourtant à transfigurer la lumière, offrant au vieil homme "quelque chose de plus serein dans la manière même qu'il a de vous envoyer son chant que vous écoutez sans l'entendre, comme il vous regarde sans vous voir".
L'académicien Philippe Beaussant, romancier et essayiste, met son amour du baroque au service du joyau du musée de Bergues, Le Vielleur au chien de Georges de La Tour, peintre décédé brutalement en 1652, qui ne sera redécouvert qu'au début du XXe siècle. Philippe Beaussant éclaire pour nous la perception de ce peintre de la lumière qui, à travers la représentation d'un aveugle, peint un homme qui porte la nuit au fond de son âme.
Même la musique semble prisonnière de sa vielle, l'instrument des pauvres, qui ne permet que quelques notes et simples mélodies. La Tour parvient pourtant à transfigurer la lumière, offrant au vieil homme "quelque chose de plus serein dans la manière même qu'il a de vous envoyer son chant que vous écoutez sans l'entendre, comme il vous regarde sans vous voir".
Même la musique semble prisonnière de sa vielle, l'instrument des pauvres, qui ne permet que quelques notes et simples mélodies. La Tour parvient pourtant à transfigurer la lumière, offrant au vieil homme "quelque chose de plus serein dans la manière même qu'il a de vous envoyer son chant que vous écoutez sans l'entendre, comme il vous regarde sans vous voir".