"Toi, maman, tu ne m'as jamais quittée. Tu as guidé ma main au long de ces pages, comme tu la tenais quand j'apprenais à faire des bâtons. Elles sont la dernière lettre d'amour que j'aurais glissé sous ton oreiller".
"Toi, maman, tu ne m'as jamais quittée. Tu as guidé ma main au long de ces pages, comme tu la tenais quand j'apprenais à faire des bâtons. Elles sont la dernière lettre d'amour que j'aurais glissé sous ton oreiller".