Le VéloSolex de mon père

Par : Franck Méneret, Jean Goyard

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  • Nombre de pages119
  • PrésentationRelié
  • Poids0.705 kg
  • Dimensions24,5 cm × 22,2 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-7268-8569-1
  • EAN9782726885697
  • Date de parution20/11/2002
  • CollectionDe mon père
  • ÉditeurETAI

Résumé

Créé en 1940, par Marcel Mennesson, le VéloSolex a, pendant des décennies, laissé la trace de son image noire de "bicyclette qui roule toute seule" grâce à la Solexine. Que ce soit à la ville ou à la campagne, il a laissé des empreintes indélébiles dans la mémoire de plusieurs générations. Au fil des ans et grâce à un réseau de concessionnaires très structuré, le VéloSolex a évolué tranquillement, s'est exporté, puis s'est construit dans plusieurs autres pays. Les années 1950 voient un florilège d'accessoires permettant de ne plus avoir le même VéloSolex que son voisin. La fin des années 1960 s'égaye et la couleur fait son apparition ainsi qu'un essai de diversification de production. Bicyclettes, cyclomoteurs à cardan puis à chaîne complètent la traditionnelle production à galet. Une diversification qui va s'amplifier dans les années 1970, provoquant la chute de la branche motorisée de la maison Solex. Mais le 3 800 n'a pas dit son dernier mot et continue son bonhomme de chemin sous les marques Motobécane puis MBK. Le voici maintenant devenu objet de collection ou simplement véhicule nostalgique. Le VéloSolex est toujours indissociable de l'idée de simplicité. Il représente, hors de son pays natal, une figure emblématique de la France et constitue, à ce titre, un véritable patrimoine culturel et industriel.
Créé en 1940, par Marcel Mennesson, le VéloSolex a, pendant des décennies, laissé la trace de son image noire de "bicyclette qui roule toute seule" grâce à la Solexine. Que ce soit à la ville ou à la campagne, il a laissé des empreintes indélébiles dans la mémoire de plusieurs générations. Au fil des ans et grâce à un réseau de concessionnaires très structuré, le VéloSolex a évolué tranquillement, s'est exporté, puis s'est construit dans plusieurs autres pays. Les années 1950 voient un florilège d'accessoires permettant de ne plus avoir le même VéloSolex que son voisin. La fin des années 1960 s'égaye et la couleur fait son apparition ainsi qu'un essai de diversification de production. Bicyclettes, cyclomoteurs à cardan puis à chaîne complètent la traditionnelle production à galet. Une diversification qui va s'amplifier dans les années 1970, provoquant la chute de la branche motorisée de la maison Solex. Mais le 3 800 n'a pas dit son dernier mot et continue son bonhomme de chemin sous les marques Motobécane puis MBK. Le voici maintenant devenu objet de collection ou simplement véhicule nostalgique. Le VéloSolex est toujours indissociable de l'idée de simplicité. Il représente, hors de son pays natal, une figure emblématique de la France et constitue, à ce titre, un véritable patrimoine culturel et industriel.
Solex
Sylvie Méneret, Franck Méneret
Beau Livre
45,00 €