Le traducteur et le démiurge. Hermann Ewerbeck, un communiste allemand à Paris (1841-1860)
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- Nombre de pages275
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.44 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN979-10-90129-32-0
- EAN9791090129320
- Date de parution01/07/2019
- CollectionGauches d'ici et d'ailleurs
- ÉditeurArbre bleu
- PréfacierChristophe Prochasson
Résumé
Médecin de formation et hégélien de conviction August Hermann Ewerbeck (1816-1860) fait partie des nombreux démocrates allemands qui, au début des années 1840, voient dans la France une alliée révolutionnaire nécessaire à la réalisation de leurs espérances politiques. Exilé à Paris en 1841, il devient membre dirigeant de la Ligue des Justes, société secrète communiste pour laquelle il assume des fonctions de théoricien et d'enseignant.
Homme lige de Karl Marx et Friedrich Engels, proche d'Etienne Cabet et de Pierre-Joseph Proudon, familier de toutes les tendances du socialisme français, il joue durant près de dix ans un rôle considérable d'intermédiaire entre gauches française et allemande. C'est ce rôle longtemps méconnu que le présent livre s'efforce d'exhumer, en prenant pour fil conducteur l'activité polymorphe de traducteur d'Ewerbeck, auteur de sept ouvrages qui sont ici étudiés dans leur ensemble pour la première fois.
A travers les premières traductions commentées de textes de FauerBach et Marx en français, le lecteur découvre une tentative pionnière d'importation de l'hégelianisme et du marxisme en France. Il suit pas à pas sa réception contrastée, signature d'un échec aussi fécond que fondateur. Essai d'histoire intellectuelle au croisement de la biographie, de l'histoire sociale de l'exil et de l'histoire des traductions, ce livre replace la figure d'Hermann Ewerbeck parmis les grands interprètes francophones de l'Allemagne du XIXe siècle.
Homme lige de Karl Marx et Friedrich Engels, proche d'Etienne Cabet et de Pierre-Joseph Proudon, familier de toutes les tendances du socialisme français, il joue durant près de dix ans un rôle considérable d'intermédiaire entre gauches française et allemande. C'est ce rôle longtemps méconnu que le présent livre s'efforce d'exhumer, en prenant pour fil conducteur l'activité polymorphe de traducteur d'Ewerbeck, auteur de sept ouvrages qui sont ici étudiés dans leur ensemble pour la première fois.
A travers les premières traductions commentées de textes de FauerBach et Marx en français, le lecteur découvre une tentative pionnière d'importation de l'hégelianisme et du marxisme en France. Il suit pas à pas sa réception contrastée, signature d'un échec aussi fécond que fondateur. Essai d'histoire intellectuelle au croisement de la biographie, de l'histoire sociale de l'exil et de l'histoire des traductions, ce livre replace la figure d'Hermann Ewerbeck parmis les grands interprètes francophones de l'Allemagne du XIXe siècle.
Médecin de formation et hégélien de conviction August Hermann Ewerbeck (1816-1860) fait partie des nombreux démocrates allemands qui, au début des années 1840, voient dans la France une alliée révolutionnaire nécessaire à la réalisation de leurs espérances politiques. Exilé à Paris en 1841, il devient membre dirigeant de la Ligue des Justes, société secrète communiste pour laquelle il assume des fonctions de théoricien et d'enseignant.
Homme lige de Karl Marx et Friedrich Engels, proche d'Etienne Cabet et de Pierre-Joseph Proudon, familier de toutes les tendances du socialisme français, il joue durant près de dix ans un rôle considérable d'intermédiaire entre gauches française et allemande. C'est ce rôle longtemps méconnu que le présent livre s'efforce d'exhumer, en prenant pour fil conducteur l'activité polymorphe de traducteur d'Ewerbeck, auteur de sept ouvrages qui sont ici étudiés dans leur ensemble pour la première fois.
A travers les premières traductions commentées de textes de FauerBach et Marx en français, le lecteur découvre une tentative pionnière d'importation de l'hégelianisme et du marxisme en France. Il suit pas à pas sa réception contrastée, signature d'un échec aussi fécond que fondateur. Essai d'histoire intellectuelle au croisement de la biographie, de l'histoire sociale de l'exil et de l'histoire des traductions, ce livre replace la figure d'Hermann Ewerbeck parmis les grands interprètes francophones de l'Allemagne du XIXe siècle.
Homme lige de Karl Marx et Friedrich Engels, proche d'Etienne Cabet et de Pierre-Joseph Proudon, familier de toutes les tendances du socialisme français, il joue durant près de dix ans un rôle considérable d'intermédiaire entre gauches française et allemande. C'est ce rôle longtemps méconnu que le présent livre s'efforce d'exhumer, en prenant pour fil conducteur l'activité polymorphe de traducteur d'Ewerbeck, auteur de sept ouvrages qui sont ici étudiés dans leur ensemble pour la première fois.
A travers les premières traductions commentées de textes de FauerBach et Marx en français, le lecteur découvre une tentative pionnière d'importation de l'hégelianisme et du marxisme en France. Il suit pas à pas sa réception contrastée, signature d'un échec aussi fécond que fondateur. Essai d'histoire intellectuelle au croisement de la biographie, de l'histoire sociale de l'exil et de l'histoire des traductions, ce livre replace la figure d'Hermann Ewerbeck parmis les grands interprètes francophones de l'Allemagne du XIXe siècle.