Le théâtre français du XVIIIe siècle

Par : André Blanc

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  • Nombre de pages118
  • PrésentationBroché
  • Poids0.235 kg
  • Dimensions16,6 cm × 24,0 cm × 0,8 cm
  • ISBN2-7298-4709-X
  • EAN9782729847098
  • Date de parution19/05/1998
  • Collectionthèmes & études
  • ÉditeurEllipses

Résumé

Jamais peut-être, la passion du théâtre ne fut la plus forte en France qu'au VIIIe siècle. Paradoxalement, seuls deux noms sont vraiment connus du grand public : Marivaux et Beaumarchais, auxquels on peut à la rigueur ajouter Diderot. Tout en laissant à ces auteurs la place qu'ils méritent, il fallait rendre justice aux autres, qu'il s'agisse des tragédies de Crébillon et de Voltaire, si injustement ignorées, des comédies de Dancourt, de Regnard, de Destouches, de Nivelle de la Chaussée, de Piron, de Marmontel, de Collé et de bien d'autres. Sans oublier la période révolutionnaire, dont les productions, étroitement mêlées à la vie de la nation, pour avoir été souvent éphémères, sont cependant loin d'être négligeables. Et s'il n'y avait, jusqu'en 1791, que deux troupes officielles et subventionnées, les théâtres de la Foire et les théâtres privés donnèrent des multitudes de pièces de toute sorte. Ce Théâtre s'est exercé dans tous les genres ; bien loin de n'être qu'une imitation du siècle précédent, c'est un théâtre d'expérience et d'essai, dont l'évolution constante conduit tout naturellement au théâtre romantique, mais aussi au théâtre réaliste et au théâtre populaire du XIXe siècle.
Jamais peut-être, la passion du théâtre ne fut la plus forte en France qu'au VIIIe siècle. Paradoxalement, seuls deux noms sont vraiment connus du grand public : Marivaux et Beaumarchais, auxquels on peut à la rigueur ajouter Diderot. Tout en laissant à ces auteurs la place qu'ils méritent, il fallait rendre justice aux autres, qu'il s'agisse des tragédies de Crébillon et de Voltaire, si injustement ignorées, des comédies de Dancourt, de Regnard, de Destouches, de Nivelle de la Chaussée, de Piron, de Marmontel, de Collé et de bien d'autres. Sans oublier la période révolutionnaire, dont les productions, étroitement mêlées à la vie de la nation, pour avoir été souvent éphémères, sont cependant loin d'être négligeables. Et s'il n'y avait, jusqu'en 1791, que deux troupes officielles et subventionnées, les théâtres de la Foire et les théâtres privés donnèrent des multitudes de pièces de toute sorte. Ce Théâtre s'est exercé dans tous les genres ; bien loin de n'être qu'une imitation du siècle précédent, c'est un théâtre d'expérience et d'essai, dont l'évolution constante conduit tout naturellement au théâtre romantique, mais aussi au théâtre réaliste et au théâtre populaire du XIXe siècle.
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