Le sport dans la Rome antique
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages190
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.468 kg
- Dimensions16,2 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-87772-114-0
- EAN9782877721141
- Date de parution01/01/1996
- CollectionHespérides
- ÉditeurErrance (Editions)
Résumé
Selon la tradition, les Sabines furent enlevées par Romulus et ses compagnons alors qu'elles assistaient à des compétitions hippiques. Ainsi, depuis les origines, fortement marquées par les influences étrusques, jusqu'à l'Antiquité tardive, les sports occupèrent dans la civilisation romaine une place de premier plan - et même démesurée aux yeux de certains. Les jeux du cirque, qui ne sont pas, comme on le croit trop souvent, les combats de gladiateurs, comprennent des compétitions athlétiques et hippiques dont la description détaillée révèle quelques surprises.
Les courses de quadriges, avec leurs cochers vedettes, les fameux "agitateurs", étaient de loin l'épreuve sportive la plus populaire et déchaînaient des passions difficilement imaginables aujourd'hui. Les "factions" étaient l'équivalent de nos grands clubs modernes. A Rome, le Grand Cirque, qui pouvait accueillir 150 000 spectateurs, retentissait souvent des cris "Allez les Verts !". Motif favori de l'iconographie sur les mosaïques comme sur les lampes, en passant par les bas-reliefs ou les statuettes, le sport est un excellent révélateur de la civilisation romaine sur les plans politique et sociologique.
Les courses de quadriges, avec leurs cochers vedettes, les fameux "agitateurs", étaient de loin l'épreuve sportive la plus populaire et déchaînaient des passions difficilement imaginables aujourd'hui. Les "factions" étaient l'équivalent de nos grands clubs modernes. A Rome, le Grand Cirque, qui pouvait accueillir 150 000 spectateurs, retentissait souvent des cris "Allez les Verts !". Motif favori de l'iconographie sur les mosaïques comme sur les lampes, en passant par les bas-reliefs ou les statuettes, le sport est un excellent révélateur de la civilisation romaine sur les plans politique et sociologique.
Selon la tradition, les Sabines furent enlevées par Romulus et ses compagnons alors qu'elles assistaient à des compétitions hippiques. Ainsi, depuis les origines, fortement marquées par les influences étrusques, jusqu'à l'Antiquité tardive, les sports occupèrent dans la civilisation romaine une place de premier plan - et même démesurée aux yeux de certains. Les jeux du cirque, qui ne sont pas, comme on le croit trop souvent, les combats de gladiateurs, comprennent des compétitions athlétiques et hippiques dont la description détaillée révèle quelques surprises.
Les courses de quadriges, avec leurs cochers vedettes, les fameux "agitateurs", étaient de loin l'épreuve sportive la plus populaire et déchaînaient des passions difficilement imaginables aujourd'hui. Les "factions" étaient l'équivalent de nos grands clubs modernes. A Rome, le Grand Cirque, qui pouvait accueillir 150 000 spectateurs, retentissait souvent des cris "Allez les Verts !". Motif favori de l'iconographie sur les mosaïques comme sur les lampes, en passant par les bas-reliefs ou les statuettes, le sport est un excellent révélateur de la civilisation romaine sur les plans politique et sociologique.
Les courses de quadriges, avec leurs cochers vedettes, les fameux "agitateurs", étaient de loin l'épreuve sportive la plus populaire et déchaînaient des passions difficilement imaginables aujourd'hui. Les "factions" étaient l'équivalent de nos grands clubs modernes. A Rome, le Grand Cirque, qui pouvait accueillir 150 000 spectateurs, retentissait souvent des cris "Allez les Verts !". Motif favori de l'iconographie sur les mosaïques comme sur les lampes, en passant par les bas-reliefs ou les statuettes, le sport est un excellent révélateur de la civilisation romaine sur les plans politique et sociologique.