Le sport barbare. Critique d'un fléau mondial
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- Nombre de pages203
- PrésentationBroché
- Poids0.242 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,5 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-84186-647-2
- EAN9782841866472
- Date de parution16/02/2012
- ÉditeurMichalon
Résumé
Le sport, en quelques décennies, s'est élevé au niveau d'une
puissance mondiale incontournable, la nouvelle et vraie
religion du XXIe siècle. Sa liturgie singulière mobilise dans le
même temps d'immenses masses coagulées dans les stades ou
agglutinées devant les écrans de toute taille que les supporters
visualisent de façon compulsionnelle. Ces masses grégaires,
obéissantes, souvent violentes, mues par des pulsions
chauvines, nationalistes, parfois xénophobes et racistes, sont
assoiffées de compétitions sportives, euphorisées par les
victoires mais oublieuses des luttes sociales et politiques,
surtout la jeunesse.
L'organisation même d'un sport planétaire, étayée par un ordre pyramidal opaque, s'est érigée et solidifiée comme un mode de production et de reproduction socio- économique, envahie par une esthétique crépusculaire, exhibant des champions dopés et accumulant des quantités de marchandises très ordinaires. Le sport, désormais un spectacle total, s'affirme comme le seul média structurant dans toute sa profondeur le quotidien de milliards d'individus.
Rouleau compresseur de la modernité décadente, le sport-spectacle lamine tout sur son passage et devient un projet d'une société sans projet.
L'organisation même d'un sport planétaire, étayée par un ordre pyramidal opaque, s'est érigée et solidifiée comme un mode de production et de reproduction socio- économique, envahie par une esthétique crépusculaire, exhibant des champions dopés et accumulant des quantités de marchandises très ordinaires. Le sport, désormais un spectacle total, s'affirme comme le seul média structurant dans toute sa profondeur le quotidien de milliards d'individus.
Rouleau compresseur de la modernité décadente, le sport-spectacle lamine tout sur son passage et devient un projet d'une société sans projet.
Le sport, en quelques décennies, s'est élevé au niveau d'une
puissance mondiale incontournable, la nouvelle et vraie
religion du XXIe siècle. Sa liturgie singulière mobilise dans le
même temps d'immenses masses coagulées dans les stades ou
agglutinées devant les écrans de toute taille que les supporters
visualisent de façon compulsionnelle. Ces masses grégaires,
obéissantes, souvent violentes, mues par des pulsions
chauvines, nationalistes, parfois xénophobes et racistes, sont
assoiffées de compétitions sportives, euphorisées par les
victoires mais oublieuses des luttes sociales et politiques,
surtout la jeunesse.
L'organisation même d'un sport planétaire, étayée par un ordre pyramidal opaque, s'est érigée et solidifiée comme un mode de production et de reproduction socio- économique, envahie par une esthétique crépusculaire, exhibant des champions dopés et accumulant des quantités de marchandises très ordinaires. Le sport, désormais un spectacle total, s'affirme comme le seul média structurant dans toute sa profondeur le quotidien de milliards d'individus.
Rouleau compresseur de la modernité décadente, le sport-spectacle lamine tout sur son passage et devient un projet d'une société sans projet.
L'organisation même d'un sport planétaire, étayée par un ordre pyramidal opaque, s'est érigée et solidifiée comme un mode de production et de reproduction socio- économique, envahie par une esthétique crépusculaire, exhibant des champions dopés et accumulant des quantités de marchandises très ordinaires. Le sport, désormais un spectacle total, s'affirme comme le seul média structurant dans toute sa profondeur le quotidien de milliards d'individus.
Rouleau compresseur de la modernité décadente, le sport-spectacle lamine tout sur son passage et devient un projet d'une société sans projet.