La destinée a parlé, Ciri est unie à Geralt, et est donc emmenée en sécurité à Kaer Morhen, la forteresse des sorceleurs. L'entraînement y est long et douloureux, mais n'est rien en comparaison de ce qui semble attendre nos héros, car les pouvoirs de Ciri s'éveillent par moments, et semblent prophétiser un avenir sombre pour le monde entier... Un avenir où un immense magma noir, nommé le Nilfgaard, recouvre et détruit tout sur son passage, au point que l'équilibre même du monde en est remis en question. Une guerre se prépare, et pas du genre de celles des derniers siècles.
Au milieu de tout cela, les sorceleurs se questionnent quant à leur éternelle neutralité, et au potentiel rôle que certain pourraient jouer dans ce conflit. En effet, jusqu'à maintenant, il a toujours été considéré comme vérité absolue que les sorceleurs combattent les effets, pas les causes.
Et pourtant, en vue d'événements dont les enjeux les dépassent, il pourrait bien y avoir du changement dans l'air, déjà chargé de l'odeur des cadavres d'elfes. Car comme si la menace du Nilfgaard ne suffisait pas, une minorité du peuple elfique, les Scoia'tael, sont en pleine insurrection, sentant venir la fin du règne des hommes.
Les intrigues politiques sont omniprésentes dans ce nouveau tome qui fait suite directe aux évènements du tome 2. On découvre ici la formation de sorceleur de Ciri, qui deviendra ensuite une formation à la magie menée par la magicienne Triss Merigold, autre personnage phare de la saga.
Faisant office de grand départ à une longue aventure, les dangers sont nombreux dans ce volume, et les mains tapies dans l'ombre tentant de saisir l'enfant surprise, encore plus.
La destinée a parlé, Ciri est unie à Geralt, et est donc emmenée en sécurité à Kaer Morhen, la forteresse des sorceleurs. L'entraînement y est long et douloureux, mais n'est rien en comparaison de ce qui semble attendre nos héros, car les pouvoirs de Ciri s'éveillent par moments, et semblent prophétiser un avenir sombre pour le monde entier... Un avenir où un immense magma noir, nommé le Nilfgaard, recouvre et détruit tout sur son passage, au point que l'équilibre même du monde en est remis en question. Une guerre se prépare, et pas du genre de celles des derniers siècles.
Au milieu de tout cela, les sorceleurs se questionnent quant à leur éternelle neutralité, et au potentiel rôle que certain pourraient jouer dans ce conflit. En effet, jusqu'à maintenant, il a toujours été considéré comme vérité absolue que les sorceleurs combattent les effets, pas les causes.
Et pourtant, en vue d'événements dont les enjeux les dépassent, il pourrait bien y avoir du changement dans l'air, déjà chargé de l'odeur des cadavres d'elfes. Car comme si la menace du Nilfgaard ne suffisait pas, une minorité du peuple elfique, les Scoia'tael, sont en pleine insurrection, sentant venir la fin du règne des hommes.
Les intrigues politiques sont omniprésentes dans ce nouveau tome qui fait suite directe aux évènements du tome 2. On découvre ici la formation de sorceleur de Ciri, qui deviendra ensuite une formation à la magie menée par la magicienne Triss Merigold, autre personnage phare de la saga.
Faisant office de grand départ à une longue aventure, les dangers sont nombreux dans ce volume, et les mains tapies dans l'ombre tentant de saisir l'enfant surprise, encore plus.