La providence, le destin, le bien et le mal sont tout autant de thématiques chères à l'œuvre de Sapkowski. Servant surtout à cimenter les personnalités des personnages, elles sont aussi des portes que l'auteur ouvre sur des réflexion dépassant le carcan de la dark-fantasy. Ainsi, dans ce deuxième volume du Sorceleur, elles servent par exemple à questionner le sens même de l'existence de notre cher Geralt, alors en quête d'un dragon au début de notre récit.
En recherche d'un but à sa vie, il continue de sillonner les villes comme les villages en compagnie de son ami Jaskier, barde de son état et effroyable coureur de jupons. Mais cette fois, malgré une structure similaire au premier volume, à savoir un ensemble de nouvelles, l'ensemble forme un tout davantage homogène, avec un ordre chronologique plus palpable.
L'amour est d'ailleurs au centre de plusieurs histoires contenues dans ce deuxième opus : de l'amour complexe unissant une sirène et un baron qui refuse tout deux de changer de corps pour l'autre, jusqu'à la relation houleuse entre Geralt et Yennefer, l'amour y est traité sous toutes les coutures.
La relation de nos deux protagonistes est d'ailleurs ici grandement étoffée : on y découvre une vie faite de haut et de bas, d'abandon et de regret, et dont l'issue semble indéterminée. En cause, la sensation qu'a Geralt, dû à son état de sorceleur, de ne savoir s'il est réellement capable d'aimer quelqu'un.
Pourtant, au gré de ses pérégrinations, la providence finit par ne cesser de revenir vers Geralt, lui qui mène une vie au fil du rasoir en compagnie de la mort, tentant tant bien que mal de retenir ses émotions terrées en lui. Cette Providence a même un visage : celui d'une jeune enfant aux dons exceptionnels, capable de renverser le fil d'une guerre comme de faire choir les plus grands monarques.
Son nom est Ciri, et son rôle à venir dépasse tout ce que l'on peut imaginer. Ainsi commence réellement l'aventure de Geralt de Riv, de Yennefer de Venderberg, du barde Jaskier, et de l'enfant prophétique.
Ainsi commence vraiment l'histoire du Sorceleur.
La providence, le destin, le bien et le mal sont tout autant de thématiques chères à l'œuvre de Sapkowski. Servant surtout à cimenter les personnalités des personnages, elles sont aussi des portes que l'auteur ouvre sur des réflexion dépassant le carcan de la dark-fantasy. Ainsi, dans ce deuxième volume du Sorceleur, elles servent par exemple à questionner le sens même de l'existence de notre cher Geralt, alors en quête d'un dragon au début de notre récit.
En recherche d'un but à sa vie, il continue de sillonner les villes comme les villages en compagnie de son ami Jaskier, barde de son état et effroyable coureur de jupons. Mais cette fois, malgré une structure similaire au premier volume, à savoir un ensemble de nouvelles, l'ensemble forme un tout davantage homogène, avec un ordre chronologique plus palpable.
L'amour est d'ailleurs au centre de plusieurs histoires contenues dans ce deuxième opus : de l'amour complexe unissant une sirène et un baron qui refuse tout deux de changer de corps pour l'autre, jusqu'à la relation houleuse entre Geralt et Yennefer, l'amour y est traité sous toutes les coutures.
La relation de nos deux protagonistes est d'ailleurs ici grandement étoffée : on y découvre une vie faite de haut et de bas, d'abandon et de regret, et dont l'issue semble indéterminée. En cause, la sensation qu'a Geralt, dû à son état de sorceleur, de ne savoir s'il est réellement capable d'aimer quelqu'un.
Pourtant, au gré de ses pérégrinations, la providence finit par ne cesser de revenir vers Geralt, lui qui mène une vie au fil du rasoir en compagnie de la mort, tentant tant bien que mal de retenir ses émotions terrées en lui. Cette Providence a même un visage : celui d'une jeune enfant aux dons exceptionnels, capable de renverser le fil d'une guerre comme de faire choir les plus grands monarques.
Son nom est Ciri, et son rôle à venir dépasse tout ce que l'on peut imaginer. Ainsi commence réellement l'aventure de Geralt de Riv, de Yennefer de Venderberg, du barde Jaskier, et de l'enfant prophétique.
Ainsi commence vraiment l'histoire du Sorceleur.