Comment le décrire, ce roman qui est pour l'instant l'un des seuls à m'avoir fait pleurer toutes les larmes de mon corps ou en tout cas une bonne partie... J'exagère un peu sûrement mais c'est parce qu'en écrivant je revis, je revois. Revis mes émotions, revois la plume à tomber de beauté de cette grande Andrée Chedid. Revis l'histoire bouleversante de Saddika, la vieille lavandière qui, en cette période au Caire en 1947, fait tout pour sauver son petit-fils Hassan du Choléra. Le sixième jour, l'enfant guérira, il ne peut en être autrement, s'obstine Saddika. Parce qu'il s'agit
du rêve de ce gosse, Saddika va montrer la mer à Hassan malade. J'ai voyagé et pleuré avec Saddika et Hassan, j'ai vu la mer d'Alexandrie avec eux. Voyez également le film éponyme du grand Youssef Chahine en 1986 avec la merveilleuse Dalida qui y est magistrale. Sans les petites longueurs que j'ai trouvées, ce livre serait parfait.
Voir moins
Le sixième jour ou comment pleurer ses tripes sur tant de beauté.
Comment le décrire, ce roman qui est pour l'instant l'un des seuls à m'avoir fait pleurer toutes les larmes de mon corps ou en tout cas une bonne partie... J'exagère un peu sûrement mais c'est parce qu'en écrivant je revis, je revois. Revis mes émotions, revois la plume à tomber de beauté de cette grande Andrée Chedid. Revis l'histoire bouleversante de Saddika, la vieille lavandière qui, en cette période au Caire en 1947, fait tout pour sauver son petit-fils Hassan du Choléra. Le sixième jour, l'enfant guérira, il ne peut en être autrement, s'obstine Saddika. Parce qu'il s'agit du rêve de ce gosse, Saddika va montrer la mer à Hassan malade. J'ai voyagé et pleuré avec Saddika et Hassan, j'ai vu la mer d'Alexandrie avec eux. Voyez également le film éponyme du grand Youssef Chahine en 1986 avec la merveilleuse Dalida qui y est magistrale. Sans les petites longueurs que j'ai trouvées, ce livre serait parfait.
Voir moins