Le siège de Paris. Journal d'un parisien (1870-1871)
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages280
- PrésentationBroché
- Poids0.515 kg
- Dimensions16,0 cm × 23,5 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-86959-983-3
- EAN9782869599833
- Date de parution18/05/2012
- ÉditeurArléa
- PréfacierAlain Fillion
Résumé
Evénement majeur de la fin du XIXe siècle, le siège de Paris par les troupes prussiennes, du 18 septembre 1870 au 28 janvier 1871, a donné lieu à de multiples ouvrages, parmi lesquels celui d'Adolphe Michel occupe une place exceptionnelle. Paru en 1871, ce journal est l'oeuvre d'un Parisien dont on ignore à peu près tout, mais qui à coup sûr était un homme cultivé, un observateur méticuleux et un citoyen bien informé.
N'ignorant rien des articles du Journal officiel ni des communiqués de l'état-major, notant au jour le jour les décisions et proclamations du gouvernement de la défense nationale, Adolphe Michel met en évidence la tension croissante, au fil des cent trente-trois jours, de ce que Victor Hugo appellera " l'année terrible ". Tout est raconté avec réalisme et fidélité : les bombardements qui frappent la capitale, l'effervescence politique de la rue, les pénuries et privations de toute sorte qui affament les Parisiens - jusqu'à la chasse au rat, au chat, au corbeau.
On a le sentiment d'être convié à l'avant-scène d'une tragédie vivante qui se terminera, comme l'on sait, par un armistice humiliant : la France devra payer à l'Allemagne une contribution de guerre de cinq milliards de francs et lui céder l'Alsace et la Lorraine.
N'ignorant rien des articles du Journal officiel ni des communiqués de l'état-major, notant au jour le jour les décisions et proclamations du gouvernement de la défense nationale, Adolphe Michel met en évidence la tension croissante, au fil des cent trente-trois jours, de ce que Victor Hugo appellera " l'année terrible ". Tout est raconté avec réalisme et fidélité : les bombardements qui frappent la capitale, l'effervescence politique de la rue, les pénuries et privations de toute sorte qui affament les Parisiens - jusqu'à la chasse au rat, au chat, au corbeau.
On a le sentiment d'être convié à l'avant-scène d'une tragédie vivante qui se terminera, comme l'on sait, par un armistice humiliant : la France devra payer à l'Allemagne une contribution de guerre de cinq milliards de francs et lui céder l'Alsace et la Lorraine.
Evénement majeur de la fin du XIXe siècle, le siège de Paris par les troupes prussiennes, du 18 septembre 1870 au 28 janvier 1871, a donné lieu à de multiples ouvrages, parmi lesquels celui d'Adolphe Michel occupe une place exceptionnelle. Paru en 1871, ce journal est l'oeuvre d'un Parisien dont on ignore à peu près tout, mais qui à coup sûr était un homme cultivé, un observateur méticuleux et un citoyen bien informé.
N'ignorant rien des articles du Journal officiel ni des communiqués de l'état-major, notant au jour le jour les décisions et proclamations du gouvernement de la défense nationale, Adolphe Michel met en évidence la tension croissante, au fil des cent trente-trois jours, de ce que Victor Hugo appellera " l'année terrible ". Tout est raconté avec réalisme et fidélité : les bombardements qui frappent la capitale, l'effervescence politique de la rue, les pénuries et privations de toute sorte qui affament les Parisiens - jusqu'à la chasse au rat, au chat, au corbeau.
On a le sentiment d'être convié à l'avant-scène d'une tragédie vivante qui se terminera, comme l'on sait, par un armistice humiliant : la France devra payer à l'Allemagne une contribution de guerre de cinq milliards de francs et lui céder l'Alsace et la Lorraine.
N'ignorant rien des articles du Journal officiel ni des communiqués de l'état-major, notant au jour le jour les décisions et proclamations du gouvernement de la défense nationale, Adolphe Michel met en évidence la tension croissante, au fil des cent trente-trois jours, de ce que Victor Hugo appellera " l'année terrible ". Tout est raconté avec réalisme et fidélité : les bombardements qui frappent la capitale, l'effervescence politique de la rue, les pénuries et privations de toute sorte qui affament les Parisiens - jusqu'à la chasse au rat, au chat, au corbeau.
On a le sentiment d'être convié à l'avant-scène d'une tragédie vivante qui se terminera, comme l'on sait, par un armistice humiliant : la France devra payer à l'Allemagne une contribution de guerre de cinq milliards de francs et lui céder l'Alsace et la Lorraine.