Le Sénat, paradis fiscal pour des parlementaires fantômes
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- Nombre de pages245
- PrésentationBroché
- Poids0.31 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-268-07749-9
- EAN9782268077499
- Date de parution02/06/2016
- CollectionEnquête
- ÉditeurRocher (Editions du)
Résumé
On croyait tout savoir du manque d'exemplarité des 348 sénateurs et de leurs privilèges monarchiques : 6 000 ? mensuels de frais "remboursés" sans justificatif, super-retraites, absentéisme endémique... Malgré les efforts de son nouveau président Gérard Larcher, le manque de transparence ruine toujours l'image du Sénat. A moins d'un an de la présidentielle, Yvan Stefanovitch révèle dans cet ouvrage les privilèges fiscaux que se sont octroyés légalement ces princes de la République et le vaste système de triche qui permet à une partie d'entre eux, les "intouchables" , de ne rien faire ou presque...
Chaque sénateur paie l'impôt sur le revenu, non pas sur son indemnité totale mensuelle (11 350 ? nets), mais uniquement sur ses indemnités de base et de résidence (soit 4 140 ? nets). Il reçoit donc chaque mois, sur son compte bancaire, 7 210 ? au black, le plus légalement du monde ! L'ouvrage publie l'identité - restée secrète - des 14 sénateurs sanctionnés au dernier trimestre 2015, pour absentéisme, par une simple amende de 2 130 ? prélevée, une fois pour toutes, sur leur indemnité parlementaire.
Yvan Stefanovitch, journaliste, est l'auteur de nombreux ouvrages qui dénoncent les usages abusifs de l'argent public : Aux frais de la princesse, La Caste des 500, Rentiers d'Etat... En collaboration avec Robert Colonna d'Istria, il a publié Le Sénat. Enquête sur les super-privilégiés de la République (Le Rocher, 2008).
Chaque sénateur paie l'impôt sur le revenu, non pas sur son indemnité totale mensuelle (11 350 ? nets), mais uniquement sur ses indemnités de base et de résidence (soit 4 140 ? nets). Il reçoit donc chaque mois, sur son compte bancaire, 7 210 ? au black, le plus légalement du monde ! L'ouvrage publie l'identité - restée secrète - des 14 sénateurs sanctionnés au dernier trimestre 2015, pour absentéisme, par une simple amende de 2 130 ? prélevée, une fois pour toutes, sur leur indemnité parlementaire.
Yvan Stefanovitch, journaliste, est l'auteur de nombreux ouvrages qui dénoncent les usages abusifs de l'argent public : Aux frais de la princesse, La Caste des 500, Rentiers d'Etat... En collaboration avec Robert Colonna d'Istria, il a publié Le Sénat. Enquête sur les super-privilégiés de la République (Le Rocher, 2008).
On croyait tout savoir du manque d'exemplarité des 348 sénateurs et de leurs privilèges monarchiques : 6 000 ? mensuels de frais "remboursés" sans justificatif, super-retraites, absentéisme endémique... Malgré les efforts de son nouveau président Gérard Larcher, le manque de transparence ruine toujours l'image du Sénat. A moins d'un an de la présidentielle, Yvan Stefanovitch révèle dans cet ouvrage les privilèges fiscaux que se sont octroyés légalement ces princes de la République et le vaste système de triche qui permet à une partie d'entre eux, les "intouchables" , de ne rien faire ou presque...
Chaque sénateur paie l'impôt sur le revenu, non pas sur son indemnité totale mensuelle (11 350 ? nets), mais uniquement sur ses indemnités de base et de résidence (soit 4 140 ? nets). Il reçoit donc chaque mois, sur son compte bancaire, 7 210 ? au black, le plus légalement du monde ! L'ouvrage publie l'identité - restée secrète - des 14 sénateurs sanctionnés au dernier trimestre 2015, pour absentéisme, par une simple amende de 2 130 ? prélevée, une fois pour toutes, sur leur indemnité parlementaire.
Yvan Stefanovitch, journaliste, est l'auteur de nombreux ouvrages qui dénoncent les usages abusifs de l'argent public : Aux frais de la princesse, La Caste des 500, Rentiers d'Etat... En collaboration avec Robert Colonna d'Istria, il a publié Le Sénat. Enquête sur les super-privilégiés de la République (Le Rocher, 2008).
Chaque sénateur paie l'impôt sur le revenu, non pas sur son indemnité totale mensuelle (11 350 ? nets), mais uniquement sur ses indemnités de base et de résidence (soit 4 140 ? nets). Il reçoit donc chaque mois, sur son compte bancaire, 7 210 ? au black, le plus légalement du monde ! L'ouvrage publie l'identité - restée secrète - des 14 sénateurs sanctionnés au dernier trimestre 2015, pour absentéisme, par une simple amende de 2 130 ? prélevée, une fois pour toutes, sur leur indemnité parlementaire.
Yvan Stefanovitch, journaliste, est l'auteur de nombreux ouvrages qui dénoncent les usages abusifs de l'argent public : Aux frais de la princesse, La Caste des 500, Rentiers d'Etat... En collaboration avec Robert Colonna d'Istria, il a publié Le Sénat. Enquête sur les super-privilégiés de la République (Le Rocher, 2008).