Dans la collection " Demain ", après l'épineux problème des retraites, Philippe Douste-Blazy s'interroge sur les relations entre les entreprises et l'Etat ; les salariés et les dirigeants ou actionnaires.
Le Profit partagé est d'abord le plaidoyer de l'actuelle opposition pour un nouveau discours social.
Par le biais d'intervenants aussi différents qu'opposés sur la scène politique que sont le président Seillière, le secrétaire de la CGT Jean-Christophe Le Duigou, ou encore le président de Croissance Plus Bruno Vanryb, l'ouvrage permet l'ouverture immédiate d'un débat conforme à l'esprit de la collection " Demain ".
" Aujourd'hui, l'actionnariat salarié paraît en mesure de répondre aux intérêts des salariés et à ceux des actionnaires : les entreprises profiteraient d'un capital stable, les salariés des bénéfices de leur entreprise. Ouvrir l'accès des profits au plus grand nombre, voilà un objectif véritablement démocratique. Relier, à travers les salariés, les bénéfices de la Bourse et les revenus du travail, telle est la clef de la politique sociale de demain. "
Dans la collection " Demain ", après l'épineux problème des retraites, Philippe Douste-Blazy s'interroge sur les relations entre les entreprises et l'Etat ; les salariés et les dirigeants ou actionnaires.
Le Profit partagé est d'abord le plaidoyer de l'actuelle opposition pour un nouveau discours social.
Par le biais d'intervenants aussi différents qu'opposés sur la scène politique que sont le président Seillière, le secrétaire de la CGT Jean-Christophe Le Duigou, ou encore le président de Croissance Plus Bruno Vanryb, l'ouvrage permet l'ouverture immédiate d'un débat conforme à l'esprit de la collection " Demain ".
" Aujourd'hui, l'actionnariat salarié paraît en mesure de répondre aux intérêts des salariés et à ceux des actionnaires : les entreprises profiteraient d'un capital stable, les salariés des bénéfices de leur entreprise. Ouvrir l'accès des profits au plus grand nombre, voilà un objectif véritablement démocratique. Relier, à travers les salariés, les bénéfices de la Bourse et les revenus du travail, telle est la clef de la politique sociale de demain. "