Blaise Bakulu Madila est né à Kinsahsa (RDC), le 27/09/1978. Il est détenteur d'un double Master, en théologie pratique (théologie catholique) et en philosophie (philosophie politique et morale) à l'université de Strasbourg. En cette année académique 2015-2016, Il poursuit ses études, toujours à l'université de Strasbourg, par un double cursus : troisième année de Licence en sociologie et deuxième année de Licence canonique de théologie catholique (Diplôme Supérieur de Théologie Catholique- DSTC). Prédicateur de l'Évangile de Jésus-Christ et chercheur indépendant, Blaise Bakulu Madila s'intéresse principalement à des faits sociaux et aux questions psychologiques, comportementales et réflexives. Il est convaincu de la force de l'écoute et de la parole.
Le phénomène de la sorcellerie en milieu africain. Une étude sociologique
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- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- Poids0.1425 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-414-04277-7
- EAN9782414042777
- Date de parution29/06/2017
- CollectionClassique
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Le phénomène de la sorcellerie a une rationalité existentielle et mérite d'être considérée comme un fait détruisant l'existence humaine en Afrique. La sorcellerie est considérée comme un facteur de pauvreté et de sous-développement en Afrique. Elle est aussi perçue comme un refuge psychologique justifiant les ignominies et ignorances de tout un monde ancré dans la peur. C'est l'avènement des fantasmes humains qui deviennent des réalités forcément tangibles dans le cours quotidien de la vie.
C'est ce qui pousse bon nombre d'Africains, marqués par une religiosité sans fondement rationnel ni raisonnable, à tout justifier à travers le prisme de la sorcellerie. Là se trouve un frein à la réflexion voire à la remise en question des problèmes qui gangrènent l'existence humaine. L'on voit que la sorcellerie représente un grand défi à relever dans le génie culturel des peuples d'Afrique, voire d'autres cieux.
C'est ce qui pousse bon nombre d'Africains, marqués par une religiosité sans fondement rationnel ni raisonnable, à tout justifier à travers le prisme de la sorcellerie. Là se trouve un frein à la réflexion voire à la remise en question des problèmes qui gangrènent l'existence humaine. L'on voit que la sorcellerie représente un grand défi à relever dans le génie culturel des peuples d'Afrique, voire d'autres cieux.
Le phénomène de la sorcellerie a une rationalité existentielle et mérite d'être considérée comme un fait détruisant l'existence humaine en Afrique. La sorcellerie est considérée comme un facteur de pauvreté et de sous-développement en Afrique. Elle est aussi perçue comme un refuge psychologique justifiant les ignominies et ignorances de tout un monde ancré dans la peur. C'est l'avènement des fantasmes humains qui deviennent des réalités forcément tangibles dans le cours quotidien de la vie.
C'est ce qui pousse bon nombre d'Africains, marqués par une religiosité sans fondement rationnel ni raisonnable, à tout justifier à travers le prisme de la sorcellerie. Là se trouve un frein à la réflexion voire à la remise en question des problèmes qui gangrènent l'existence humaine. L'on voit que la sorcellerie représente un grand défi à relever dans le génie culturel des peuples d'Afrique, voire d'autres cieux.
C'est ce qui pousse bon nombre d'Africains, marqués par une religiosité sans fondement rationnel ni raisonnable, à tout justifier à travers le prisme de la sorcellerie. Là se trouve un frein à la réflexion voire à la remise en question des problèmes qui gangrènent l'existence humaine. L'on voit que la sorcellerie représente un grand défi à relever dans le génie culturel des peuples d'Afrique, voire d'autres cieux.