Le petit mousse d'Aboukir. Giocante de Casabianca face à l'amiral Nelson
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- Nombre de pages110
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.145 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-343-06533-5
- EAN9782343065335
- Date de parution01/06/2015
- CollectionRue des écoles
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Juin 1798, L'amiral Nelson sillonnait la Méditerranée à la recherche de la flotte de Bonaparte partie à la conquête de l'Egypte. Le général débarqua son armée le 29 juin au soir près d'Alexandrie. Le 4 juillet, plutôt que de les mettre à la voile en haute mer, le vice-amiral Brueys estima qu'il suffirait d'abouquer les navires en file, à l'ancre le long des côtes de la baie d'Aboukir. Le 1er août vers 14 heures, Nelson apparut en vue de la flotte française dont la moitié des équipages vaquait à terre, en quête d'eau et de vivres.
A 17 heures, L'amiral Nelson, en ordre de bataille, engagea le combat. Dans l'impossibilité de manoeuvrer, des navires français furent aussitôt démâtés ou coulés. Enfant de 12 ans, fils de Luc de Casabianca, commandant du navire-amiral L'Orient, Giocante, fidèle à son poste de mousse-vigie, observait la bataille. Vers 22 heures, le navire L'Orient s'enflamma sous les boulets rouges de Nelson. Giocante, qui depuis sa plus tendre enfance rêvait de devenir capitaine de frégate, refusa sa propre évacuation alors que le commandant, un bras arraché, ordonnait le sauve-qui-peut.
L'enfant supplia son père d'être le dernier à quitter le navire en flammes, avec lui grand capitaine.
A 17 heures, L'amiral Nelson, en ordre de bataille, engagea le combat. Dans l'impossibilité de manoeuvrer, des navires français furent aussitôt démâtés ou coulés. Enfant de 12 ans, fils de Luc de Casabianca, commandant du navire-amiral L'Orient, Giocante, fidèle à son poste de mousse-vigie, observait la bataille. Vers 22 heures, le navire L'Orient s'enflamma sous les boulets rouges de Nelson. Giocante, qui depuis sa plus tendre enfance rêvait de devenir capitaine de frégate, refusa sa propre évacuation alors que le commandant, un bras arraché, ordonnait le sauve-qui-peut.
L'enfant supplia son père d'être le dernier à quitter le navire en flammes, avec lui grand capitaine.
Juin 1798, L'amiral Nelson sillonnait la Méditerranée à la recherche de la flotte de Bonaparte partie à la conquête de l'Egypte. Le général débarqua son armée le 29 juin au soir près d'Alexandrie. Le 4 juillet, plutôt que de les mettre à la voile en haute mer, le vice-amiral Brueys estima qu'il suffirait d'abouquer les navires en file, à l'ancre le long des côtes de la baie d'Aboukir. Le 1er août vers 14 heures, Nelson apparut en vue de la flotte française dont la moitié des équipages vaquait à terre, en quête d'eau et de vivres.
A 17 heures, L'amiral Nelson, en ordre de bataille, engagea le combat. Dans l'impossibilité de manoeuvrer, des navires français furent aussitôt démâtés ou coulés. Enfant de 12 ans, fils de Luc de Casabianca, commandant du navire-amiral L'Orient, Giocante, fidèle à son poste de mousse-vigie, observait la bataille. Vers 22 heures, le navire L'Orient s'enflamma sous les boulets rouges de Nelson. Giocante, qui depuis sa plus tendre enfance rêvait de devenir capitaine de frégate, refusa sa propre évacuation alors que le commandant, un bras arraché, ordonnait le sauve-qui-peut.
L'enfant supplia son père d'être le dernier à quitter le navire en flammes, avec lui grand capitaine.
A 17 heures, L'amiral Nelson, en ordre de bataille, engagea le combat. Dans l'impossibilité de manoeuvrer, des navires français furent aussitôt démâtés ou coulés. Enfant de 12 ans, fils de Luc de Casabianca, commandant du navire-amiral L'Orient, Giocante, fidèle à son poste de mousse-vigie, observait la bataille. Vers 22 heures, le navire L'Orient s'enflamma sous les boulets rouges de Nelson. Giocante, qui depuis sa plus tendre enfance rêvait de devenir capitaine de frégate, refusa sa propre évacuation alors que le commandant, un bras arraché, ordonnait le sauve-qui-peut.
L'enfant supplia son père d'être le dernier à quitter le navire en flammes, avec lui grand capitaine.