" Qu'emporter sur une île déserte ? Sans doute, le Petit Larousse. J'ai toujours eu le rêve de le lire de A à Z comme un inventaire poétique. Lorsque j'étais enfant, c'était le pilier des bibliothèques, souvent dérobé pour des escapades dans l'imaginaire. C'est avec émotion que j'ai mis en scène les lettrines de cette centième édition. Un peu surréaliste, entre contes et charades pour les noms communs ou, pour les noms propres, la recomposition allégorique de villes, entre fantasme onirique et réalité contemporaine. " Christian Lacroix.
" Qu'emporter sur une île déserte ? Sans doute, le Petit Larousse. J'ai toujours eu le rêve de le lire de A à Z comme un inventaire poétique. Lorsque j'étais enfant, c'était le pilier des bibliothèques, souvent dérobé pour des escapades dans l'imaginaire. C'est avec émotion que j'ai mis en scène les lettrines de cette centième édition. Un peu surréaliste, entre contes et charades pour les noms communs ou, pour les noms propres, la recomposition allégorique de villes, entre fantasme onirique et réalité contemporaine. " Christian Lacroix.