Le père Noël est une hypothèse
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- Nombre de pages234
- PrésentationBroché
- Poids0.314 kg
- Dimensions14,2 cm × 22,6 cm × 2,2 cm
- ISBN978-2-7499-1497-8
- EAN9782749914978
- Date de parution20/10/2011
- ÉditeurMichel Lafon
Résumé
"Max mon fils a huit ans, il gravit les marches de Cannes pour le film Versailles dans lequel il a le premier rôle. Sous mes yeux surgit soudain une image bouleversante : Max ne monte pas seulement vers les portes du palais, il grimpe vers le ciel... Pourtant il a côtoyé l'enfer. Leucémie à deux ans et demi, greffe de moelle osseuse à quatre, infection pulmonaire foudroyante à cinq. Puis la terreur absolue : vingt et un jours en réanimation, intubé, écartelé, à tenter d'échapper au baiser glacial de la mort.
Alors, au bas de ces marches qui font rêver tant de gens, je pleure, pauvre Madeleine égarée dans un monde de paillettes, parce que mon fils est vivant, juste vivant. Et aussi parce que j'aimerais tellement avoir une vie normale pour voir comment ça fait, et surtout ne plus trembler sans cesse pour lui, mon magnifique amour. Aujourd'hui Max est en rémission, il enchaîne les films le sourire aux lèvres en disant : "j'ai eu un peu peur mais après j'ai repris la joie !" Et si le cinéma était sa façon de s'entêter, d'être là pour toujours" ?
Alors, au bas de ces marches qui font rêver tant de gens, je pleure, pauvre Madeleine égarée dans un monde de paillettes, parce que mon fils est vivant, juste vivant. Et aussi parce que j'aimerais tellement avoir une vie normale pour voir comment ça fait, et surtout ne plus trembler sans cesse pour lui, mon magnifique amour. Aujourd'hui Max est en rémission, il enchaîne les films le sourire aux lèvres en disant : "j'ai eu un peu peur mais après j'ai repris la joie !" Et si le cinéma était sa façon de s'entêter, d'être là pour toujours" ?
"Max mon fils a huit ans, il gravit les marches de Cannes pour le film Versailles dans lequel il a le premier rôle. Sous mes yeux surgit soudain une image bouleversante : Max ne monte pas seulement vers les portes du palais, il grimpe vers le ciel... Pourtant il a côtoyé l'enfer. Leucémie à deux ans et demi, greffe de moelle osseuse à quatre, infection pulmonaire foudroyante à cinq. Puis la terreur absolue : vingt et un jours en réanimation, intubé, écartelé, à tenter d'échapper au baiser glacial de la mort.
Alors, au bas de ces marches qui font rêver tant de gens, je pleure, pauvre Madeleine égarée dans un monde de paillettes, parce que mon fils est vivant, juste vivant. Et aussi parce que j'aimerais tellement avoir une vie normale pour voir comment ça fait, et surtout ne plus trembler sans cesse pour lui, mon magnifique amour. Aujourd'hui Max est en rémission, il enchaîne les films le sourire aux lèvres en disant : "j'ai eu un peu peur mais après j'ai repris la joie !" Et si le cinéma était sa façon de s'entêter, d'être là pour toujours" ?
Alors, au bas de ces marches qui font rêver tant de gens, je pleure, pauvre Madeleine égarée dans un monde de paillettes, parce que mon fils est vivant, juste vivant. Et aussi parce que j'aimerais tellement avoir une vie normale pour voir comment ça fait, et surtout ne plus trembler sans cesse pour lui, mon magnifique amour. Aujourd'hui Max est en rémission, il enchaîne les films le sourire aux lèvres en disant : "j'ai eu un peu peur mais après j'ai repris la joie !" Et si le cinéma était sa façon de s'entêter, d'être là pour toujours" ?