Le Père de la petite

Par : Marie Sizun

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  • Nombre de pages152
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.19 kg
  • Dimensions13,0 cm × 19,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-86959-714-2
  • EAN9782869597143
  • Date de parution26/08/2005
  • Collection1er Mille
  • ÉditeurArléa

Résumé

Paris, 1944. Une petite fille de quatre ans vit dans l'insouciance de la guerre, heureuse et libre, seule avec une mère fantasque qu'elle adore. Lorsque revient le père qu'elle n'a jamais vu, prisonnier de guerre libéré, l'existence de celle qu'on appelle " la petite " est bouleversée. Pour cet intrus qui lui prend sa mère et entend imposer son autorité à une maison bohème, elle éprouve d'abord de la haine, de l'effroi aussi devant sa dureté, sa violence, son étrangeté. Puis, avec tout l'excès dont un enfant est capable,, elle se met à l'aimer d'un amour absolu, exclusif, un peu fou. Mais elle sera à l'origine d'un drame familial dont l'ombre se dessinait dès les premières pages du livre. Qu'est-ce qu'un père ? C'est la question qui court tout au long de cette remontée de souvenirs, poignants mais distanciés, écrits à la troisième personne et dans une grande économie de style. La réponse nous sera donnée, lumineuse, dans les tout derniers mots du texte.
Paris, 1944. Une petite fille de quatre ans vit dans l'insouciance de la guerre, heureuse et libre, seule avec une mère fantasque qu'elle adore. Lorsque revient le père qu'elle n'a jamais vu, prisonnier de guerre libéré, l'existence de celle qu'on appelle " la petite " est bouleversée. Pour cet intrus qui lui prend sa mère et entend imposer son autorité à une maison bohème, elle éprouve d'abord de la haine, de l'effroi aussi devant sa dureté, sa violence, son étrangeté. Puis, avec tout l'excès dont un enfant est capable,, elle se met à l'aimer d'un amour absolu, exclusif, un peu fou. Mais elle sera à l'origine d'un drame familial dont l'ombre se dessinait dès les premières pages du livre. Qu'est-ce qu'un père ? C'est la question qui court tout au long de cette remontée de souvenirs, poignants mais distanciés, écrits à la troisième personne et dans une grande économie de style. La réponse nous sera donnée, lumineuse, dans les tout derniers mots du texte.