Le pays d'origine

Par : C-E Du Perron
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  • Nombre de pages552
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.56 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 3,1 cm
  • ISBN2-07-027911-1
  • EAN9782070279111
  • Date de parution01/05/1980
  • CollectionDu monde entier
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Le Pays d'origine nous convie à suivre une année (février 1933-février 1934) de la vie d'Arthur Ducroo. Année difficile au cours de laquelle cet héritier ruiné d'une vieille famille néerlandaise de Java, pour l'heure journaliste à Paris, tente maladroitement d'arracher aux hommes de loi les dépouilles de son patrimoine, et plus généralement de survivre en sauvegardant une certaine qualité humaine dans une Europe en crise où s'accumulent les menaces.
Durant ces douze mois, Ducroo entreprend de noter ses souvenirs d'enfance et de jeunesse, tentative autobiographique qui est à la fois recherche d'identité de la part d'un Européen déraciné en Occident, refuge contre un présent hostile et hommage à Jane, la femme aimée, "point focal" où convergent "tous les chemins" de cette vie. Ducroo évoque ainsi, sans exotisme, mais avec une minutie exemplaire, note son ami André Malraux (qu'on retrouve sous les traits d'un des principaux personnages), un monde colonial disparu, celui des Indes néerlandaises au début de ce siècle, monde composite où les planteurs européens, pionniers et aristocrates à la fois, côtoient des populations indigènes auxquelles ils empruntent leurs coutumes, leurs superstitions, éventuellement leurs femmes.
Mais il ne nous livre ces souvenirs que par bribes : d'impérieuses nécessités le ramènent périodiquement au présent. Ainsi nous promène-t-il sans cesse de 1900 à 1930, de Java à Paris, en une confrontation d'où passé et présent, Orient et Occident, tirent leur véritalbe sens.
Le Pays d'origine nous convie à suivre une année (février 1933-février 1934) de la vie d'Arthur Ducroo. Année difficile au cours de laquelle cet héritier ruiné d'une vieille famille néerlandaise de Java, pour l'heure journaliste à Paris, tente maladroitement d'arracher aux hommes de loi les dépouilles de son patrimoine, et plus généralement de survivre en sauvegardant une certaine qualité humaine dans une Europe en crise où s'accumulent les menaces.
Durant ces douze mois, Ducroo entreprend de noter ses souvenirs d'enfance et de jeunesse, tentative autobiographique qui est à la fois recherche d'identité de la part d'un Européen déraciné en Occident, refuge contre un présent hostile et hommage à Jane, la femme aimée, "point focal" où convergent "tous les chemins" de cette vie. Ducroo évoque ainsi, sans exotisme, mais avec une minutie exemplaire, note son ami André Malraux (qu'on retrouve sous les traits d'un des principaux personnages), un monde colonial disparu, celui des Indes néerlandaises au début de ce siècle, monde composite où les planteurs européens, pionniers et aristocrates à la fois, côtoient des populations indigènes auxquelles ils empruntent leurs coutumes, leurs superstitions, éventuellement leurs femmes.
Mais il ne nous livre ces souvenirs que par bribes : d'impérieuses nécessités le ramènent périodiquement au présent. Ainsi nous promène-t-il sans cesse de 1900 à 1930, de Java à Paris, en une confrontation d'où passé et présent, Orient et Occident, tirent leur véritalbe sens.