Le patrimoine indochinois : Hanoi et autres sites
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- PrésentationBroché
- Poids0.8 kg
- ISBN2-86222-057-4
- EAN9782862220574
- Date de parution01/09/2006
- CollectionArchithèses
- ÉditeurRecherches éditions
Résumé
Parmi les grandes villes de l'Asie du Sud-Est, Hanoi s'inscrit comme l'une des plus anciennes capitales vivantes. Dans un climat de développement urbain accéléré, son histoire reste présente à travers les interventions actuelles de restauration de monuments remarquables (tels que l'ancienne citadelle) qui ont remis en valeur les précédents moments de prise en charge du patrimoine, notamment pendant la colonisation française.
Cet ouvrage nous fait suivre l'investissement de la ville vietnamienne par les Français entre les dernières décennies du XIXe siècle et les années 1930 et présente comment, dans ce contexte, est venu s'implanter le concept de monument historique. L'auteur montre le rôle essentiel de l'École française d'Extrême-Orient dans la sélection des édifices à préserver, dans les choix des doctrines de restauration et dans les interventions réalisées non seulement à Hanoi, mais aussi au Tonkin, en Annam, au Laos ou à Angkor.
L'exploitation des dossiers des Archives, des cartes de la ville de Hanoi et des publications scientifiques de l'époque fait apparaître l'incompatibilité de sens entre le « monument historique » et la perception vietnamienne des éléments représentatifs du patrimoine urbain, dont certains constituants vont être progressivement anéantis dans l'organisation de la ville moderne.
Cet ouvrage nous fait suivre l'investissement de la ville vietnamienne par les Français entre les dernières décennies du XIXe siècle et les années 1930 et présente comment, dans ce contexte, est venu s'implanter le concept de monument historique. L'auteur montre le rôle essentiel de l'École française d'Extrême-Orient dans la sélection des édifices à préserver, dans les choix des doctrines de restauration et dans les interventions réalisées non seulement à Hanoi, mais aussi au Tonkin, en Annam, au Laos ou à Angkor.
L'exploitation des dossiers des Archives, des cartes de la ville de Hanoi et des publications scientifiques de l'époque fait apparaître l'incompatibilité de sens entre le « monument historique » et la perception vietnamienne des éléments représentatifs du patrimoine urbain, dont certains constituants vont être progressivement anéantis dans l'organisation de la ville moderne.
Parmi les grandes villes de l'Asie du Sud-Est, Hanoi s'inscrit comme l'une des plus anciennes capitales vivantes. Dans un climat de développement urbain accéléré, son histoire reste présente à travers les interventions actuelles de restauration de monuments remarquables (tels que l'ancienne citadelle) qui ont remis en valeur les précédents moments de prise en charge du patrimoine, notamment pendant la colonisation française.
Cet ouvrage nous fait suivre l'investissement de la ville vietnamienne par les Français entre les dernières décennies du XIXe siècle et les années 1930 et présente comment, dans ce contexte, est venu s'implanter le concept de monument historique. L'auteur montre le rôle essentiel de l'École française d'Extrême-Orient dans la sélection des édifices à préserver, dans les choix des doctrines de restauration et dans les interventions réalisées non seulement à Hanoi, mais aussi au Tonkin, en Annam, au Laos ou à Angkor.
L'exploitation des dossiers des Archives, des cartes de la ville de Hanoi et des publications scientifiques de l'époque fait apparaître l'incompatibilité de sens entre le « monument historique » et la perception vietnamienne des éléments représentatifs du patrimoine urbain, dont certains constituants vont être progressivement anéantis dans l'organisation de la ville moderne.
Cet ouvrage nous fait suivre l'investissement de la ville vietnamienne par les Français entre les dernières décennies du XIXe siècle et les années 1930 et présente comment, dans ce contexte, est venu s'implanter le concept de monument historique. L'auteur montre le rôle essentiel de l'École française d'Extrême-Orient dans la sélection des édifices à préserver, dans les choix des doctrines de restauration et dans les interventions réalisées non seulement à Hanoi, mais aussi au Tonkin, en Annam, au Laos ou à Angkor.
L'exploitation des dossiers des Archives, des cartes de la ville de Hanoi et des publications scientifiques de l'époque fait apparaître l'incompatibilité de sens entre le « monument historique » et la perception vietnamienne des éléments représentatifs du patrimoine urbain, dont certains constituants vont être progressivement anéantis dans l'organisation de la ville moderne.