Le passé ne meurt pas. Souvenirs d'un historien
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- Nombre de pages172
- PrésentationBroché
- Poids0.213 kg
- Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-37271-044-2
- EAN9782372710442
- Date de parution12/05/2016
- CollectionDes idées et des hommes
- ÉditeurVia Romana
Résumé
Jean de Viguerie nous a fait aimer l'Histoire par la force d'évocation de ses biographies, il nous a fait comprendre les idées des Lumières par l'intelligence de ses essais. Mais derrière l'historien réputé, il y a l'homme, sa part intime. Et c'est cette vie qu'il dévoile ici pour la première fois. De sa prime enfance à Rome, éduqué par une préceptrice, de ses années d'apprentissage à Saint-Théodard, puis en classe de philosophie avec Louis Jugnet, on devine une éducation propice à l'éveil d'une pensée originale.
Sur le ton du récit, une vie à contre-courant qui défile sous nos yeux. Né d'une famille royaliste, il devient professeur dans une université qui, quelques mois avant 1968, tourne déjà à gauche. Catholique, il doit affronter une école publique le plus souvent hostile. Le récit est émaillé de rencontres, comme celle de son maître à la Sorbonne Roland Mousnier, ses confrères René Pillorget et Xavier Martin, le moine Dom Gérard du Barroux.
Les événements familiaux apparaissent avec un charme singulier, à l'aune de la vie contemporaine, et l'historien le sait. A deux reprises, le chercheur croise la grande Histoire : au moment de la guerre d'Algérie, et lors de mai 1968, qu'il vit de l'intérieur. La vie d'un écrivain est aussi, comme pour les acteurs, la rencontre avec un public : et Jean de Viguerie raconte avec truculence les aléas du conférencier face à ses auditeurs.
Jean de Viguerie se fait le témoin toujours sensible de son passé intime, à l'inverse des mémorialistes boursouflés. Cet ouvrage est le fil rouge de son oeuvre : le retour de l'historien sur lui-même, à travers l'évocation d'une vie familière bien que révolue. Ces souvenirs sont passés "dans le domaine de tout ce qui ne disparaîtra jamais et que nous retrouverons au dernier jour".
Sur le ton du récit, une vie à contre-courant qui défile sous nos yeux. Né d'une famille royaliste, il devient professeur dans une université qui, quelques mois avant 1968, tourne déjà à gauche. Catholique, il doit affronter une école publique le plus souvent hostile. Le récit est émaillé de rencontres, comme celle de son maître à la Sorbonne Roland Mousnier, ses confrères René Pillorget et Xavier Martin, le moine Dom Gérard du Barroux.
Les événements familiaux apparaissent avec un charme singulier, à l'aune de la vie contemporaine, et l'historien le sait. A deux reprises, le chercheur croise la grande Histoire : au moment de la guerre d'Algérie, et lors de mai 1968, qu'il vit de l'intérieur. La vie d'un écrivain est aussi, comme pour les acteurs, la rencontre avec un public : et Jean de Viguerie raconte avec truculence les aléas du conférencier face à ses auditeurs.
Jean de Viguerie se fait le témoin toujours sensible de son passé intime, à l'inverse des mémorialistes boursouflés. Cet ouvrage est le fil rouge de son oeuvre : le retour de l'historien sur lui-même, à travers l'évocation d'une vie familière bien que révolue. Ces souvenirs sont passés "dans le domaine de tout ce qui ne disparaîtra jamais et que nous retrouverons au dernier jour".
Jean de Viguerie nous a fait aimer l'Histoire par la force d'évocation de ses biographies, il nous a fait comprendre les idées des Lumières par l'intelligence de ses essais. Mais derrière l'historien réputé, il y a l'homme, sa part intime. Et c'est cette vie qu'il dévoile ici pour la première fois. De sa prime enfance à Rome, éduqué par une préceptrice, de ses années d'apprentissage à Saint-Théodard, puis en classe de philosophie avec Louis Jugnet, on devine une éducation propice à l'éveil d'une pensée originale.
Sur le ton du récit, une vie à contre-courant qui défile sous nos yeux. Né d'une famille royaliste, il devient professeur dans une université qui, quelques mois avant 1968, tourne déjà à gauche. Catholique, il doit affronter une école publique le plus souvent hostile. Le récit est émaillé de rencontres, comme celle de son maître à la Sorbonne Roland Mousnier, ses confrères René Pillorget et Xavier Martin, le moine Dom Gérard du Barroux.
Les événements familiaux apparaissent avec un charme singulier, à l'aune de la vie contemporaine, et l'historien le sait. A deux reprises, le chercheur croise la grande Histoire : au moment de la guerre d'Algérie, et lors de mai 1968, qu'il vit de l'intérieur. La vie d'un écrivain est aussi, comme pour les acteurs, la rencontre avec un public : et Jean de Viguerie raconte avec truculence les aléas du conférencier face à ses auditeurs.
Jean de Viguerie se fait le témoin toujours sensible de son passé intime, à l'inverse des mémorialistes boursouflés. Cet ouvrage est le fil rouge de son oeuvre : le retour de l'historien sur lui-même, à travers l'évocation d'une vie familière bien que révolue. Ces souvenirs sont passés "dans le domaine de tout ce qui ne disparaîtra jamais et que nous retrouverons au dernier jour".
Sur le ton du récit, une vie à contre-courant qui défile sous nos yeux. Né d'une famille royaliste, il devient professeur dans une université qui, quelques mois avant 1968, tourne déjà à gauche. Catholique, il doit affronter une école publique le plus souvent hostile. Le récit est émaillé de rencontres, comme celle de son maître à la Sorbonne Roland Mousnier, ses confrères René Pillorget et Xavier Martin, le moine Dom Gérard du Barroux.
Les événements familiaux apparaissent avec un charme singulier, à l'aune de la vie contemporaine, et l'historien le sait. A deux reprises, le chercheur croise la grande Histoire : au moment de la guerre d'Algérie, et lors de mai 1968, qu'il vit de l'intérieur. La vie d'un écrivain est aussi, comme pour les acteurs, la rencontre avec un public : et Jean de Viguerie raconte avec truculence les aléas du conférencier face à ses auditeurs.
Jean de Viguerie se fait le témoin toujours sensible de son passé intime, à l'inverse des mémorialistes boursouflés. Cet ouvrage est le fil rouge de son oeuvre : le retour de l'historien sur lui-même, à travers l'évocation d'une vie familière bien que révolue. Ces souvenirs sont passés "dans le domaine de tout ce qui ne disparaîtra jamais et que nous retrouverons au dernier jour".