Le Mouvement indépendantiste martiniquais. Essai de présentation du Marie-Jeannisme
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- Nombre de pages225
- PrésentationBroché
- Poids0.3 kg
- Dimensions14,2 cm × 22,0 cm × 1,8 cm
- ISBN2-84450-069-2
- EAN9782844500694
- Date de parution25/02/2000
- Collectionessai
- ÉditeurIbis Rouge
Résumé
Cet essai, réalisé à partir d'un travail universitaire, offre différents intérêts dans la conjoncture actuelle du débat sur le devenir de la Martinique et plus largement de l'outre-mer français.
La fameuse déclaration de Basse-Terre de décembre 1999 dans laquelle les trois présidents de Région de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique réclament un statut de région-autonome est significatif. S'il s'agit indéniablement d'une exigence de rupture par rapport à l'actuel statu quo institutionnel, c'est aussi un recul net de revendication du MIM. Cela rejoint la notion d'étape défendue par nombreux mouvements autonomistes (PPM et PCM) et contenu déjà dans le projet d'Assemblée régionale unifiée (ARU) du MIM lui-même.
Dans cet essai bien argumenté, on peut observer les méthodes de développement et de prise du pouvoir du MIM depuis sa création jusqu'à nos jours.
L'accession du MIM à un certain nombre de postes électifs majeurs à la Martinique est une preuve effective du bon fonctionnement de la démocratie. Et c'est bien là, la question fondamentale qui se pose aux acteurs politiques de la Martinique : jusqu'où les uns et les autres sont prêts à jouer le jeu de la démocratie ?
Cet essai, réalisé à partir d'un travail universitaire, offre différents intérêts dans la conjoncture actuelle du débat sur le devenir de la Martinique et plus largement de l'outre-mer français.
La fameuse déclaration de Basse-Terre de décembre 1999 dans laquelle les trois présidents de Région de Guadeloupe, de Guyane et de Martinique réclament un statut de région-autonome est significatif. S'il s'agit indéniablement d'une exigence de rupture par rapport à l'actuel statu quo institutionnel, c'est aussi un recul net de revendication du MIM. Cela rejoint la notion d'étape défendue par nombreux mouvements autonomistes (PPM et PCM) et contenu déjà dans le projet d'Assemblée régionale unifiée (ARU) du MIM lui-même.
Dans cet essai bien argumenté, on peut observer les méthodes de développement et de prise du pouvoir du MIM depuis sa création jusqu'à nos jours.
L'accession du MIM à un certain nombre de postes électifs majeurs à la Martinique est une preuve effective du bon fonctionnement de la démocratie. Et c'est bien là, la question fondamentale qui se pose aux acteurs politiques de la Martinique : jusqu'où les uns et les autres sont prêts à jouer le jeu de la démocratie ?