Le Miroir Aux Alouettes

Par : William Renard, Francis Fehr

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  • Nombre de pages170
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions13,5 cm × 20,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN2-84608-023-2
  • EAN9782846080231
  • Date de parution20/09/2000
  • ÉditeurE-dite

Résumé

Trois jours de trêve dans la vie d'un taulard. Trois jours sans prison. L'histoire d'un sursis. La première permission de Billa, braqueur de haut vol, après huit ans de placard. Mais ce qui aurait pu être une respiration, un répit, s'avère vite un piège, pire que l'incarcération. Comment Billa va-t-il gérer cette liberté entre parenthèses, les retrouvailles incertaines et douloureuses avec sa femme, ses enfants ? Le retour en taule est-il simplement possible ? Envisageable ? Et ne vaut-il pas mieux tout risquer, et la " cavale " en premier ? Car trois jours ne suffisent pas à échapper au poids de l'enfermement, de l'humiliation. " Belle enculerie, cette perm ! Un semblant de liberté pour me donner des envies de fuite. Un os à ronger que l'on arrache de la gueule du loup affamé ". La permission n'est qu'un marché de dupes, et cette soi-disant récompense se révèle d'un effet plus pervers qu'une punition : un miroir aux alouettes. Ce récit à l'écriture véhémente, brutale, sorti du fond des tripes et du cœur, est un pavé dans la mare du système pénitentiaire français. Il est né de la rencontre de William Renard, matricule 319-329 K, et du cinéaste Francis Fehr. Il a été écrit en prison dans le cadre du concours " Ecrire enfermé " parrainé par la SACD et le CNC, et organisé par Francis Fehr lui-même. Il a inspiré le film " Le Miroir aux alouettes " produit par l'unité Fictions d'Arte.
Trois jours de trêve dans la vie d'un taulard. Trois jours sans prison. L'histoire d'un sursis. La première permission de Billa, braqueur de haut vol, après huit ans de placard. Mais ce qui aurait pu être une respiration, un répit, s'avère vite un piège, pire que l'incarcération. Comment Billa va-t-il gérer cette liberté entre parenthèses, les retrouvailles incertaines et douloureuses avec sa femme, ses enfants ? Le retour en taule est-il simplement possible ? Envisageable ? Et ne vaut-il pas mieux tout risquer, et la " cavale " en premier ? Car trois jours ne suffisent pas à échapper au poids de l'enfermement, de l'humiliation. " Belle enculerie, cette perm ! Un semblant de liberté pour me donner des envies de fuite. Un os à ronger que l'on arrache de la gueule du loup affamé ". La permission n'est qu'un marché de dupes, et cette soi-disant récompense se révèle d'un effet plus pervers qu'une punition : un miroir aux alouettes. Ce récit à l'écriture véhémente, brutale, sorti du fond des tripes et du cœur, est un pavé dans la mare du système pénitentiaire français. Il est né de la rencontre de William Renard, matricule 319-329 K, et du cinéaste Francis Fehr. Il a été écrit en prison dans le cadre du concours " Ecrire enfermé " parrainé par la SACD et le CNC, et organisé par Francis Fehr lui-même. Il a inspiré le film " Le Miroir aux alouettes " produit par l'unité Fictions d'Arte.