Le Mékong. Du Tibet à la mer de Chine
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Nombre de pages62
- PrésentationBroché
- Poids0.555 kg
- Dimensions26,5 cm × 23,0 cm × 1,0 cm
- ISBN2-915577-05-6
- EAN9782915577051
- Date de parution12/07/2004
- CollectionAu fil des fleuves
- ÉditeurBelem (éditions)
Résumé
Pour les Français, le nom du Mékong est inévitablement associé à celui de l'Indochine. C'est sur ses rives que la IIIe République a bâti un empire colonial qui allait naître dans des vapeurs d'opium et mourir dans une cuvette du nom de Dien Ben Phu. Il naît sur le Toit du monde, dans des régions encore inexplorées, et serpente jusqu'à la mer de Chine. Peu navigable au nord, c'est un dragon nourricier au sud, piquant de grosses colères qui noient dans de vastes crues tout ce qui se trouve à portée de sa gueule. Les peuples des six pays qu'il arrose ont chacun leur histoire et vivent à des rythmes différents. Le dernier siècle ne les a pas épargnés, et certains connaissent encore l'oppression. Ils n'ont en commun que cet énigmatique sourire asiatique que Bouddha a légué à la moitié de l'univers. En le remontant, Hervé Bentégeat raconte le fleuve : son riche delta vietnamien, surpeuplé, Mme Bay régnant sur sa nombreuse famille, le lac Tonlé Sap cambodgien et le retournement des eaux, les temples d'Angkor, les myriades d'enfants, les pagodes aux tons pastel ou criards, les marchés flottants, les postes frontières somnolents, les rizières à chapeaux coniques, les palais royaux ou les cités flambant neuves... Et aussi Mme
Siphom évoquant les terribles Khmers rouges, ou Sao, le petit Cambodgien, vendu à un trafiquant d'enfants... Comme l'auteur voyageur, laissez-vous gagner par la fièvre jaune et multicolore de ce bout d'Asie effervescent.
Pour les Français, le nom du Mékong est inévitablement associé à celui de l'Indochine. C'est sur ses rives que la IIIe République a bâti un empire colonial qui allait naître dans des vapeurs d'opium et mourir dans une cuvette du nom de Dien Ben Phu. Il naît sur le Toit du monde, dans des régions encore inexplorées, et serpente jusqu'à la mer de Chine. Peu navigable au nord, c'est un dragon nourricier au sud, piquant de grosses colères qui noient dans de vastes crues tout ce qui se trouve à portée de sa gueule. Les peuples des six pays qu'il arrose ont chacun leur histoire et vivent à des rythmes différents. Le dernier siècle ne les a pas épargnés, et certains connaissent encore l'oppression. Ils n'ont en commun que cet énigmatique sourire asiatique que Bouddha a légué à la moitié de l'univers. En le remontant, Hervé Bentégeat raconte le fleuve : son riche delta vietnamien, surpeuplé, Mme Bay régnant sur sa nombreuse famille, le lac Tonlé Sap cambodgien et le retournement des eaux, les temples d'Angkor, les myriades d'enfants, les pagodes aux tons pastel ou criards, les marchés flottants, les postes frontières somnolents, les rizières à chapeaux coniques, les palais royaux ou les cités flambant neuves... Et aussi Mme
Siphom évoquant les terribles Khmers rouges, ou Sao, le petit Cambodgien, vendu à un trafiquant d'enfants... Comme l'auteur voyageur, laissez-vous gagner par la fièvre jaune et multicolore de ce bout d'Asie effervescent.