Le Marité, voilier morutier

Par : Mikaël Gilian, Jean Dominik

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  • Nombre de pages94
  • PrésentationBroché
  • Poids0.22 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 0,6 cm
  • ISBN2-09-261116-X
  • EAN9782092611166
  • Date de parution30/09/2004
  • CollectionPetite Bibliothèque Thalassa
  • ÉditeurNathan

Résumé

En 1922 l'armateur fécampois Charles le Borgne achète la coque du harenguier H2 qu'il transforme en un trois-mâts, le Marité. La charpente est corrigée pour l'implantation des mâts et le poste d'équipage agrandi avec des chambres pour les officiers. Conduit dans le bassin Bérigny, il reçoit un gréement de trois mâts goélette, armé d'une vingtaine de doris, 24 marins le manœuvrent. Le 24 juin 1923, le bateau est béni par le curé de l'église Saint-Etienne, avec du sel et du blé comme le veut la tradition. En mars 1924 le Marité participe à sa première campagne de pêche, dite à la "morue verte". Pêché par les dorissiers, le poisson est ensuite vidé et salé à bord. De retour au mois d'octobre de la même année, il rapporte dans ses cales 100 tonnes de morue, soit 75 000 pièces... En 1927, avec l'arrivée du chalutier à vapeur, les voiliers morutiers disparaissent. En 1929, le Marité effectue sa dernière campagne, avant d'être équipé d'un moteur en 1954. En 2003, il est racheté par le Conseil général de Normandie.
En 1922 l'armateur fécampois Charles le Borgne achète la coque du harenguier H2 qu'il transforme en un trois-mâts, le Marité. La charpente est corrigée pour l'implantation des mâts et le poste d'équipage agrandi avec des chambres pour les officiers. Conduit dans le bassin Bérigny, il reçoit un gréement de trois mâts goélette, armé d'une vingtaine de doris, 24 marins le manœuvrent. Le 24 juin 1923, le bateau est béni par le curé de l'église Saint-Etienne, avec du sel et du blé comme le veut la tradition. En mars 1924 le Marité participe à sa première campagne de pêche, dite à la "morue verte". Pêché par les dorissiers, le poisson est ensuite vidé et salé à bord. De retour au mois d'octobre de la même année, il rapporte dans ses cales 100 tonnes de morue, soit 75 000 pièces... En 1927, avec l'arrivée du chalutier à vapeur, les voiliers morutiers disparaissent. En 1929, le Marité effectue sa dernière campagne, avant d'être équipé d'un moteur en 1954. En 2003, il est racheté par le Conseil général de Normandie.