Le Marechal Soult
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- Nombre de pages805
- PrésentationBroché
- Poids0.915 kg
- Dimensions14,1 cm × 22,6 cm × 3,8 cm
- ISBN2-909034-21-6
- EAN9782909034218
- Date de parution03/03/2001
- ÉditeurBernard Giovanangeli Editeur
Résumé
La longue vie du maréchal Soult (1769-1851) embrasse l'époque allant des débuts de la Révolution à la fin de la Deuxième République. Soldat de l'an II aux armées du Rhin, il atteint le sommet de la hiérarchie militaire à la fin du Directoire. L'Empire lui apporte dignités et honneurs. Il est l'homme du camp de Boulogne et de la prise du plateau de Pratzen à Austerlitz. Il est également celui qui tirera le dernier coup de canon, en 1814, à la bataille de Toulouse. Mis à l'écart sous la Restauration, il est ministre de la Guerre et président du Conseil sous la Monarchie de Juillet et dote la France d'une législation militaire remarquable, servant l'Etat tout en se maintenant à l'écart de tout engagement politique. Bibliophile et amateur d'art, à la fois secret et passionné, goûtant les vastes entreprises et dénué de préjugés, ce Languedocien est d'Empire, au sens romain du terme. L'étude de son itinéraire et de sa personnalité a bénéficié de l'ouverture d'archives familiales jusque-là réservées et de la communication de documents inédits.
La longue vie du maréchal Soult (1769-1851) embrasse l'époque allant des débuts de la Révolution à la fin de la Deuxième République. Soldat de l'an II aux armées du Rhin, il atteint le sommet de la hiérarchie militaire à la fin du Directoire. L'Empire lui apporte dignités et honneurs. Il est l'homme du camp de Boulogne et de la prise du plateau de Pratzen à Austerlitz. Il est également celui qui tirera le dernier coup de canon, en 1814, à la bataille de Toulouse. Mis à l'écart sous la Restauration, il est ministre de la Guerre et président du Conseil sous la Monarchie de Juillet et dote la France d'une législation militaire remarquable, servant l'Etat tout en se maintenant à l'écart de tout engagement politique. Bibliophile et amateur d'art, à la fois secret et passionné, goûtant les vastes entreprises et dénué de préjugés, ce Languedocien est d'Empire, au sens romain du terme. L'étude de son itinéraire et de sa personnalité a bénéficié de l'ouverture d'archives familiales jusque-là réservées et de la communication de documents inédits.