Le maréchal Lefebvre, duc de Dantzig (1755-1820)
Par :Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages401
- PrésentationBroché
- Poids0.59 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 3,0 cm
- ISBN979-10-91561-92-1
- EAN9791091561921
- Date de parution20/11/2016
- ÉditeurSoteca
Résumé
Si François-Joseph Lefebvre n'a pas été le plus brillant des maréchaux de Napoléon, sa carrière a été des plus honorables. Oublié des nombreuses biographies consacrées aux maréchaux, il mérite largement sa place parmi eux. Sous-officier au régiment des Gardes-Françaises, il a gagné ses étoiles de général dans les armées révolutionnaires. Lors des journées de Brumaire, il est parmi les premiers soutiens du général Bonaparte.
Sénateur, il fera partie de la première promotion de maréchaux en 1804. Forgé par une longue expérience de la guerre, il est mis à contribution pour diriger le siège de la forteresse de Dantzig et y gagnera le titre de duc de Dantzig. Epoux de la célèbre Madame Sans-Gêne, il évolua gauchement au sein de la cour impériale, mais respecté de tous. En 1812, à un âge où il aurait pu profiter d'une sinécure au Sénat, il participe à la dramatique campagne de Russie où il perdra un fils.
En 1814, lors de la campagne de France, à 59 ans, il charge l'ennemi à la tête de ses troupes. A la chute de l'Empire, il tente de faire bonne figure dans la nouvelle société née de la Restauration. Estimé par tous, il meurt en 1820 épuisé par une vie menée tambour battant.
Sénateur, il fera partie de la première promotion de maréchaux en 1804. Forgé par une longue expérience de la guerre, il est mis à contribution pour diriger le siège de la forteresse de Dantzig et y gagnera le titre de duc de Dantzig. Epoux de la célèbre Madame Sans-Gêne, il évolua gauchement au sein de la cour impériale, mais respecté de tous. En 1812, à un âge où il aurait pu profiter d'une sinécure au Sénat, il participe à la dramatique campagne de Russie où il perdra un fils.
En 1814, lors de la campagne de France, à 59 ans, il charge l'ennemi à la tête de ses troupes. A la chute de l'Empire, il tente de faire bonne figure dans la nouvelle société née de la Restauration. Estimé par tous, il meurt en 1820 épuisé par une vie menée tambour battant.
Si François-Joseph Lefebvre n'a pas été le plus brillant des maréchaux de Napoléon, sa carrière a été des plus honorables. Oublié des nombreuses biographies consacrées aux maréchaux, il mérite largement sa place parmi eux. Sous-officier au régiment des Gardes-Françaises, il a gagné ses étoiles de général dans les armées révolutionnaires. Lors des journées de Brumaire, il est parmi les premiers soutiens du général Bonaparte.
Sénateur, il fera partie de la première promotion de maréchaux en 1804. Forgé par une longue expérience de la guerre, il est mis à contribution pour diriger le siège de la forteresse de Dantzig et y gagnera le titre de duc de Dantzig. Epoux de la célèbre Madame Sans-Gêne, il évolua gauchement au sein de la cour impériale, mais respecté de tous. En 1812, à un âge où il aurait pu profiter d'une sinécure au Sénat, il participe à la dramatique campagne de Russie où il perdra un fils.
En 1814, lors de la campagne de France, à 59 ans, il charge l'ennemi à la tête de ses troupes. A la chute de l'Empire, il tente de faire bonne figure dans la nouvelle société née de la Restauration. Estimé par tous, il meurt en 1820 épuisé par une vie menée tambour battant.
Sénateur, il fera partie de la première promotion de maréchaux en 1804. Forgé par une longue expérience de la guerre, il est mis à contribution pour diriger le siège de la forteresse de Dantzig et y gagnera le titre de duc de Dantzig. Epoux de la célèbre Madame Sans-Gêne, il évolua gauchement au sein de la cour impériale, mais respecté de tous. En 1812, à un âge où il aurait pu profiter d'une sinécure au Sénat, il participe à la dramatique campagne de Russie où il perdra un fils.
En 1814, lors de la campagne de France, à 59 ans, il charge l'ennemi à la tête de ses troupes. A la chute de l'Empire, il tente de faire bonne figure dans la nouvelle société née de la Restauration. Estimé par tous, il meurt en 1820 épuisé par une vie menée tambour battant.