Le Malaise

Par : Laoniu

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  • Nombre de pages277
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.355 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-84931-028-1
  • EAN9782849310281
  • Date de parution01/03/2007
  • ÉditeurBleu de Chine
  • TraducteurAngel Pino

Résumé

Le malaise qui prête son titre au livre résume le sentiment du narrateur au contact de ses semblables. Portrait d'humeur de la Chine d'aujourd'hui, satire pure, exercice de défoulement, où chacun en prend pour son grade. Le jeune héros, Yitong, juste diplômé d'anglais de l'université la plus prestigieuse de Chine, - Beida, l'université de Pékin - commence pour son premier emploi à travailler dans un ministère où tasses de thé, lecture de journaux et petites vacheries des collègues dominent cet univers. Dans cette typique danwei chinoise, les interprètes d'anglais ne connaissent pas la langue de Shakespeare et ne supportent pas que l'un de leurs collègues, surtout plus jeune, soit plus compétent qu'eux. Dès lors, Yitong a l'impression de mener une existence sans soleil qui pour lui est le support de la vie, et il découvre l'hypocrisie qui, en fin de compte, régit la société. Avec la sagacité d'un moraliste et la distance que lui confère sa connaissance de l'étranger, Laoniu épingle les travers de ses compatriotes.
Le malaise qui prête son titre au livre résume le sentiment du narrateur au contact de ses semblables. Portrait d'humeur de la Chine d'aujourd'hui, satire pure, exercice de défoulement, où chacun en prend pour son grade. Le jeune héros, Yitong, juste diplômé d'anglais de l'université la plus prestigieuse de Chine, - Beida, l'université de Pékin - commence pour son premier emploi à travailler dans un ministère où tasses de thé, lecture de journaux et petites vacheries des collègues dominent cet univers. Dans cette typique danwei chinoise, les interprètes d'anglais ne connaissent pas la langue de Shakespeare et ne supportent pas que l'un de leurs collègues, surtout plus jeune, soit plus compétent qu'eux. Dès lors, Yitong a l'impression de mener une existence sans soleil qui pour lui est le support de la vie, et il découvre l'hypocrisie qui, en fin de compte, régit la société. Avec la sagacité d'un moraliste et la distance que lui confère sa connaissance de l'étranger, Laoniu épingle les travers de ses compatriotes.