Le Lexique Clandestin. La Dynamique Sociale Des Insultes Et Appellatifs A Bruxelles
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- Nombre de pages61
- PrésentationBroché
- Poids0.23 kg
- Dimensions19,5 cm × 24,0 cm × 0,5 cm
- ISBN2-8011-1253-4
- EAN9782801112533
- Date de parution19/06/2001
- Collectionfrancais & societe
- ÉditeurDuculot
Résumé
Le lexique clandestin rapporte les résultats d'une enquête sociolinguistique réalisée de 1998 à 2000 à Bruxelles. L'enquête visait à recenser les insultes, les appellatifs péjoratifs et les stéréotypes utilisés par les divers groupes sociaux, groupes ethniques, catégories d'âge, puis à étudier la dynamique de distribution de ces vocables identitaires, de type sexiste, nationaliste, raciste ou classiste. Du " Tu " insulte au clichage par antonomase de prénoms socialement indexés (Gonzague, Ronny), de l'effet Haddock à l'effet Arletty, des emplois hypocoristiques aux joutes rhétoriques, les diverses formes de l'insulte sont pistées sous l'angle de leur propagation au travers de lieux médiologiques : école, télévision, cafés, graffitis, etc. Mots étiquetés flamands, brusseleirs, wallons, arabes, congolais, le français de Bruxelles appréhende l'insulte dans le frottement des langues mais aussi, surtout, dans l'antagonisme des discours sociaux.
Le lexique clandestin rapporte les résultats d'une enquête sociolinguistique réalisée de 1998 à 2000 à Bruxelles. L'enquête visait à recenser les insultes, les appellatifs péjoratifs et les stéréotypes utilisés par les divers groupes sociaux, groupes ethniques, catégories d'âge, puis à étudier la dynamique de distribution de ces vocables identitaires, de type sexiste, nationaliste, raciste ou classiste. Du " Tu " insulte au clichage par antonomase de prénoms socialement indexés (Gonzague, Ronny), de l'effet Haddock à l'effet Arletty, des emplois hypocoristiques aux joutes rhétoriques, les diverses formes de l'insulte sont pistées sous l'angle de leur propagation au travers de lieux médiologiques : école, télévision, cafés, graffitis, etc. Mots étiquetés flamands, brusseleirs, wallons, arabes, congolais, le français de Bruxelles appréhende l'insulte dans le frottement des langues mais aussi, surtout, dans l'antagonisme des discours sociaux.