Le jour s'en va toujours trop tôt. Sur les pas de Maurice Carême
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- Nombre de pages404
- PrésentationBroché
- Poids0.675 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-87386-501-6
- EAN9782873865016
- Date de parution22/10/2007
- ÉditeurRacine Lannoo
Résumé
C'est aux sources mêmes de l'inspiration de Maurice Carême que nous convie l'auteure. Jeannine Burny a seize ans lorsqu'elle rencontre en 1941, lors d'un concours de diction, le grand poète belge. Il est membre du jury, elle présente sa première audition en public. Lorsqu'ils se lient deux ans plus tard, en 1943, ils n'imaginent pas ce que deviendra à partir de 1948 leur collaboration. Par-delà cet amour partagé qui les unit, la poésie devient la raison quotidienne de leur vie. Dès les premiers beaux jours, Maurice Carême part écrire dans la nature. L'été, il profite des mois de juillet et d'août pour réaliser de longues retraites poétiques d'abord à Orval de 1954 à 1970, puis à travers la France de 1972 à 1976. Celle qu'il nomme, dans le secret de son cœur, la "bien-aimée" est présente à ses côtés. Jeannine Burny nous révèle ce long parcours d'une œuvre sans fin jaillissante et sans fin remise en question. Elle nous raconte par la voix même de Maurice Carême l'enfance de celui-ci à Wavre, ses études à l'école normale de Tirlemont, ses relations privilégiées avec les poètes de Flandre. Elle nous ouvre sa bibliothèque, projette pour nous sa culture universelle de la poésie, son attrait pour l'astronomie, la philosophie. Au gré des recueils, elle nous emmène chez les plus grands noms de l'art pictural belge contemporain, sans oublier les compositeurs qui ne cesseront de mettre en musique une œuvre qui ne demande qu'à l'être. La mort du poète ? Mais les vrais poètes meurent-ils jamais ?
C'est aux sources mêmes de l'inspiration de Maurice Carême que nous convie l'auteure. Jeannine Burny a seize ans lorsqu'elle rencontre en 1941, lors d'un concours de diction, le grand poète belge. Il est membre du jury, elle présente sa première audition en public. Lorsqu'ils se lient deux ans plus tard, en 1943, ils n'imaginent pas ce que deviendra à partir de 1948 leur collaboration. Par-delà cet amour partagé qui les unit, la poésie devient la raison quotidienne de leur vie. Dès les premiers beaux jours, Maurice Carême part écrire dans la nature. L'été, il profite des mois de juillet et d'août pour réaliser de longues retraites poétiques d'abord à Orval de 1954 à 1970, puis à travers la France de 1972 à 1976. Celle qu'il nomme, dans le secret de son cœur, la "bien-aimée" est présente à ses côtés. Jeannine Burny nous révèle ce long parcours d'une œuvre sans fin jaillissante et sans fin remise en question. Elle nous raconte par la voix même de Maurice Carême l'enfance de celui-ci à Wavre, ses études à l'école normale de Tirlemont, ses relations privilégiées avec les poètes de Flandre. Elle nous ouvre sa bibliothèque, projette pour nous sa culture universelle de la poésie, son attrait pour l'astronomie, la philosophie. Au gré des recueils, elle nous emmène chez les plus grands noms de l'art pictural belge contemporain, sans oublier les compositeurs qui ne cesseront de mettre en musique une œuvre qui ne demande qu'à l'être. La mort du poète ? Mais les vrais poètes meurent-ils jamais ?