Le jardin aux lucioles

Par : Philippe Fiévet

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages200
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.277 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-8070-0516-7
  • EAN9782807005167
  • Date de parution12/06/2025
  • ÉditeurMEO (Editions)

Résumé

Ce roman "d'outre-humus" est une suite au récit "Temps des arbres" (Rouergue) Sa cheville captive d'un liseron, le jardinier décède parmi ses plantes. Mais le mort observe, se souvient, s'interroge. Que deviendront ses précieux arbres, auxquels il a tant donné ? Son jardin de rêve est-il condamné à mourir avec lui ou un successeur prendra-t-il la relève ? Quant aux trois enfants dont ce jardin a marqué l'enfance, Alexis, Anaïs et Julien, que vont-ils devenir ? Comment vivront-ils le deuil de leur père, de cette maison hantée de souvenirs de voyages, d'ombres et de lumières ? Vient un moment inéluctable où l'on arrive au bout du chemin ; mais si les arbres sont avec nous, s'ils ont imprégné notre vie de leur sagesse, ne nous livrent-ils pas les réponses que nous nous sommes toujours posées ? Ceux qui sont sensibles à la magie des jardins comprendront cette belle aventure que l'auteur partage ici, bien au-delà d'une courte vie d'homme.
Ce roman "d'outre-humus" est une suite au récit "Temps des arbres" (Rouergue) Sa cheville captive d'un liseron, le jardinier décède parmi ses plantes. Mais le mort observe, se souvient, s'interroge. Que deviendront ses précieux arbres, auxquels il a tant donné ? Son jardin de rêve est-il condamné à mourir avec lui ou un successeur prendra-t-il la relève ? Quant aux trois enfants dont ce jardin a marqué l'enfance, Alexis, Anaïs et Julien, que vont-ils devenir ? Comment vivront-ils le deuil de leur père, de cette maison hantée de souvenirs de voyages, d'ombres et de lumières ? Vient un moment inéluctable où l'on arrive au bout du chemin ; mais si les arbres sont avec nous, s'ils ont imprégné notre vie de leur sagesse, ne nous livrent-ils pas les réponses que nous nous sommes toujours posées ? Ceux qui sont sensibles à la magie des jardins comprendront cette belle aventure que l'auteur partage ici, bien au-delà d'une courte vie d'homme.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 3 avis lecteurs
Eblouissement
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
  • enfants
  • jardin - fleurs
Eblouissement
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, qui ai « vécu » le suicide d’un frère jeune, adoré, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec l'arbre au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, qui ai « vécu » le suicide d’un frère jeune, adoré, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
  • jardin - fleurs
Eblouissement
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec le Parrotia persica au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
D’une manière générale, ce roman m’a transporté, ébloui même par moments. Par son écriture simple, limpide, belle, qui distille un vrai bonheur chez le lecteur. Par l’humour tranquille et sage, à la limite de l’auto-dérision, du narrateur. Par l’originalité de l’écriture, avec de délicieuses « trouvailles » et des métaphores inspirées par le monde végétal. Par le fond également : regard tendre mais lucide d’un homme sur sa vie, sur ses relations avec ses enfants, son entourage, amour profond de l’homme pour la nature, dont il sait en faire partie, au point de confondre ses cendres avec le Parrotia persica au pied duquel elles ont été répandues, solidarité aussi des plantes et des arbres entre eux. En particulier, j’ai été ému, au point de les relire, par les passages avec la chienne Geisha et par celui où Julien va rechercher les cendres de sa mère pour les répandre sur celles de son père, avec cette phrase déchirante qui conclut le roman : « Un bref instant, il crut percevoir deux corps allongés sur la pelouse, unis l’un à l’autre dans le songe d’une douce nuit d’été et dont l’étreinte était sur le point de lui transmettre la toute première étincelle de vie ». Moi, qui ne suit qu’un très modeste jardinier au regard du narrateur, qui ai donné vie à trois enfants également, et dont la vie est à son automne déjà, je me suis souvent identifié au narrateur. Et j’ai beaucoup appris sur le monde végétal et …les lucioles. Un immense merci pour ce livre, qui nous parle de la vie, de la mort, avec détachement et en même temps, avec profondeur, et sans jamais sombrer dans la tristesse.
  • jardin - fleurs
Le jardin aux lucioles
5/5
Philippe Fiévet
E-book
11,99 €
Le jardin aux lucioles
5/5
Philippe Fiévet
E-book
11,99 €
Image Placeholder
Philippe Fiévet
E-book
14,99 €
Brûlure indienne
Philippe Fiévet
E-book
13,99 €
Brûlure indienne
Philippe Fiévet
E-book
13,99 €
Ruby
Philippe Fiévet
E-book
11,99 €
Ruby
Philippe Fiévet
E-book
11,99 €
Une colonne pour le paradis
Philippe Fiévet
E-book
12,99 €
Une colonne pour le paradis
Philippe Fiévet
E-book
12,99 €
Le temps des arbres
Philippe Fiévet
E-book
16,99 €
Le temps des arbres
Philippe Fiévet
E-book
16,99 €
Brûlure indienne
Philippe Fiévet
Grand Format
23,00 €