Le groupe des Batignolles. Les impressionnistes avant l'impressionnisme

Par : Claude Jeancolas

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  • Nombre de pages164
  • PrésentationBroché
  • Poids0.79 kg
  • Dimensions21,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-914304-48-1
  • EAN9782914304481
  • Date de parution06/10/2014
  • ÉditeurVan Wilder

Résumé

L'appelation Groupe des Batignolles est née en 1870 par l'exposition d'un tableau de Fantin-Latour. "Un Atelier aux Batignolles" représente Manet portraiturant le critique Astruc, entouré de quelques amis dont Monet, Bazille, Zola, Renoir... Pour être plus complet le peintre aurait pu ajouter Cézanne, Pissarro, Nadar, Degas, Duranty, Sisley, Morisot et une vingtaine d'autres, collectionneurs, artistes ou journalistes.
Tous se retrouvaient régulièrement au café Guerbois dans le quartier neuf des Batignolles où presque tous avaient pris des ateliers ou des logements. Ils étaient jeunes, vingt-cinq ans en moyenne, d'autant plus intransigeants qu'ils n'étaient pas sûrs d'eux-mêmes, chacun cherchant sa voie. Les seules certitudes, qui les unissaient, étaient la nécessité de rejeter l'art officiel et l'urgence d'inventer un art nouveau.
Sur les moyens ils étaient presque toujours en désaccord. D'où l'intérêt des conversations au Guerbois qui tournaient souvent en pugilats : le plein air, la gravure, la photographie, la division des couleurs, le travail de l'ombre, la peinture d'histoire, les voies d'exposition, le japonisme... Malgré les divergences l'esprit était avivé par ces rencontres, l'enthousiasme regonflé, le courage réveillé, la mission clarifiée, dirait Monet.
Ce groupe a réussi durant quelques années, de 1860 à 1874, à engendrer une fraternité, vraie société d'entraide et foyer exceptionnel de créativité et d'affection.
L'appelation Groupe des Batignolles est née en 1870 par l'exposition d'un tableau de Fantin-Latour. "Un Atelier aux Batignolles" représente Manet portraiturant le critique Astruc, entouré de quelques amis dont Monet, Bazille, Zola, Renoir... Pour être plus complet le peintre aurait pu ajouter Cézanne, Pissarro, Nadar, Degas, Duranty, Sisley, Morisot et une vingtaine d'autres, collectionneurs, artistes ou journalistes.
Tous se retrouvaient régulièrement au café Guerbois dans le quartier neuf des Batignolles où presque tous avaient pris des ateliers ou des logements. Ils étaient jeunes, vingt-cinq ans en moyenne, d'autant plus intransigeants qu'ils n'étaient pas sûrs d'eux-mêmes, chacun cherchant sa voie. Les seules certitudes, qui les unissaient, étaient la nécessité de rejeter l'art officiel et l'urgence d'inventer un art nouveau.
Sur les moyens ils étaient presque toujours en désaccord. D'où l'intérêt des conversations au Guerbois qui tournaient souvent en pugilats : le plein air, la gravure, la photographie, la division des couleurs, le travail de l'ombre, la peinture d'histoire, les voies d'exposition, le japonisme... Malgré les divergences l'esprit était avivé par ces rencontres, l'enthousiasme regonflé, le courage réveillé, la mission clarifiée, dirait Monet.
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