Le grand maître des Templiers

Par : Inès Nollier
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  • Nombre de pages363
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.494 kg
  • Dimensions15,3 cm × 23,8 cm × 2,3 cm
  • ISBN2-268-01657-9
  • EAN9782268016573
  • Date de parution01/02/1994
  • Collectionbeaux livres
  • ÉditeurRocher (Editions du)

Résumé

Le soir du 18 mars 1314, sur l'île aux juifs à Paris, était brûlé vif Jacques de Molay, grand maître de l'Ordre du Temple. Huit siècles après, ce destin lumineux et tragique suscite encore les passions. Quarante années à servir son pays et sa foi, à traverser les mers, à chevaucher sur des terres de sable et de feu, à combattre l'infidèle, pour finir comme hérétique dans l'opprobre et l'ignominie.
Il se préparait à reprendre Jérusalem aux musulmans, quand il fut rappelé en France par le pape afin de s'expliquer sur des rumeurs diffamatoires qui couraient sur l'Ordre. L'âme trempée, invulnérable, Jacques de Molay est avant tout un guerrier. Homme rude et simple, il n'entend rien à la politique, aux rouages et aux roueries du pouvoir. Aussi tombe-t-il avec candeur dans le piège le plus scélérat jamais ourdi par un monarque.
Philippe le Bel jugeait les Templiers trop encombrants et puissants ; de plus il avait besoin d'argent. On serait tenté d'invoquer la raison d'Etat. Mais ne s'agit-il pas plutôt de l'un des premiers procès staliniens de l'histoire ? Mise au secret, procès truqué, sept ans des pires tortures dans la noirceur des cachots... Que valent, dès lors, les aveux arrachés à Jacques de Molay et à ses compagnons ? Quel crédit accorder aux abominations dont on a chargé le Temple ?
Le soir du 18 mars 1314, sur l'île aux juifs à Paris, était brûlé vif Jacques de Molay, grand maître de l'Ordre du Temple. Huit siècles après, ce destin lumineux et tragique suscite encore les passions. Quarante années à servir son pays et sa foi, à traverser les mers, à chevaucher sur des terres de sable et de feu, à combattre l'infidèle, pour finir comme hérétique dans l'opprobre et l'ignominie.
Il se préparait à reprendre Jérusalem aux musulmans, quand il fut rappelé en France par le pape afin de s'expliquer sur des rumeurs diffamatoires qui couraient sur l'Ordre. L'âme trempée, invulnérable, Jacques de Molay est avant tout un guerrier. Homme rude et simple, il n'entend rien à la politique, aux rouages et aux roueries du pouvoir. Aussi tombe-t-il avec candeur dans le piège le plus scélérat jamais ourdi par un monarque.
Philippe le Bel jugeait les Templiers trop encombrants et puissants ; de plus il avait besoin d'argent. On serait tenté d'invoquer la raison d'Etat. Mais ne s'agit-il pas plutôt de l'un des premiers procès staliniens de l'histoire ? Mise au secret, procès truqué, sept ans des pires tortures dans la noirceur des cachots... Que valent, dès lors, les aveux arrachés à Jacques de Molay et à ses compagnons ? Quel crédit accorder aux abominations dont on a chargé le Temple ?