Le golem

Par : Georges Nataf

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  • Nombre de pages46
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.045 kg
  • Dimensions12,0 cm × 15,4 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-37020-111-9
  • EAN9782370201119
  • Date de parution20/04/2017
  • ÉditeurBerg International

Résumé

La première allusion au golem se trouve dans le livre des Psaumes (139 :16) : « Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient; et sur ton livre étaient inscrits les jours qui m'étaient destinés, avant qu'aucun d'eux n'existât. » Commentant ce verset, Rabbi Yonathan (iie siècle) concevait le Golem comme un embryon dont les membres n'ont pas encore été formés tandis que le Talmud le désigne comme la créature aux dons intellectuels et sociaux demeurés à l'état brut.
Ainsi un sage familier du Sefer Yetsira, connu comme le plus ancien traité de magie juive, et s'aidant de la puissance créatrice de l'alphabet hébraïque forgea une statue d'argile animée par le pouvoir des lettres composant l'un des noms de Dieu. A la suite d'une expérience extatique il grava sur son front le mot Émet (vérité) ce qui lui donna vie. Mais le golem, créé au départ pour protéger le ghetto, outrepassa sa fonction à tel point que son créateur décida de le renvoyer vers le néant.
Il effaça le É de son front, ce qui donna Met (mort) et le fit ainsi retourner à la terre.Gustav Meyrink (1868-1932), l'un des principaux représentants de la littérature fantastique de langue allemande, popularisa le mythe à travers son livre Le Golem publié en 1915. Depuis, ce thème fut traité par différents auteurs dont Isaac Bashevis Singer (1904-1991), prix Nobel de littérature en 1978. La nouvelle version de ce mythe que propose Georges Nataf révèle toute sa dimension mystique.
La première allusion au golem se trouve dans le livre des Psaumes (139 :16) : « Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient; et sur ton livre étaient inscrits les jours qui m'étaient destinés, avant qu'aucun d'eux n'existât. » Commentant ce verset, Rabbi Yonathan (iie siècle) concevait le Golem comme un embryon dont les membres n'ont pas encore été formés tandis que le Talmud le désigne comme la créature aux dons intellectuels et sociaux demeurés à l'état brut.
Ainsi un sage familier du Sefer Yetsira, connu comme le plus ancien traité de magie juive, et s'aidant de la puissance créatrice de l'alphabet hébraïque forgea une statue d'argile animée par le pouvoir des lettres composant l'un des noms de Dieu. A la suite d'une expérience extatique il grava sur son front le mot Émet (vérité) ce qui lui donna vie. Mais le golem, créé au départ pour protéger le ghetto, outrepassa sa fonction à tel point que son créateur décida de le renvoyer vers le néant.
Il effaça le É de son front, ce qui donna Met (mort) et le fit ainsi retourner à la terre.Gustav Meyrink (1868-1932), l'un des principaux représentants de la littérature fantastique de langue allemande, popularisa le mythe à travers son livre Le Golem publié en 1915. Depuis, ce thème fut traité par différents auteurs dont Isaac Bashevis Singer (1904-1991), prix Nobel de littérature en 1978. La nouvelle version de ce mythe que propose Georges Nataf révèle toute sa dimension mystique.
La vie quotidienne juive
Isaac Rouche, Georges Nataf
E-book
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