Nouveauté

Le Front de l'Est : De l'Opération Barbarossa à la chute de Berlin. La Seconde Guerre mondiale en couleur
Edition collector

Par : Michaël Bourlet
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  • Nombre de pages176
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.355 kg
  • Dimensions24,6 cm × 32,2 cm × 2,3 cm
  • ISBN978-2-344-06893-9
  • EAN9782344068939
  • Date de parution07/05/2025
  • CollectionHistoire
  • ÉditeurGlénat
  • PréfacierFrédéric Guelton

Résumé

La guerre qui oppose l'Union Soviétique et l'Allemagne nazie du 22 juin 1941 au 8 mai 1945 est celle de tous les superlatifs. D'abord, elle se déroule sur le plus grand théâtre d'opération terrestre de la Seconde Guerre mondiale et probablement de l'histoire de l'humanité. Ce front mobile, où alternent les offensives allemandes et soviétiques, effectue un aller-retour à travers l'ouest de l'Union Soviétique puis traverse l'Europe centrale, de la Baltique à la Méditerranée.
Ensuite, la lutte acharnée que se livrent les deux régimes totalitaires entraîne une mobilisation extraordinaire des économies et des sociétés. Elle débouche sur des destructions et des pertes humaines d'une ampleur inédite en raison des combats, des déportations de populations, des massacres, des crimes de guerre mais aussi des maladies et de la faim. Le front de l'Est est aussi un front de la mort où règne l'idéologie.
A partir de 1943, l'Allemagne s'érige en rempart face à l'expansion du bolchevisme. Pour le régime soviétique, le front de l'Est est d'abord une question de survie. L'Union Soviétique répond à la guerre à mort que lui impose l'Allemagne nazie avec la brutalité d'un état totalitaire. Sans l'Union Soviétique, quelle aurait été l'issue de la Seconde Guerre mondiale ? La mobilisation de la population en Union Soviétique, une industrie qui tourne à plein régime et l'immense aide matérielle américaine permettent à l'URSS de résister, d'user son adversaire et enfin d'étendre son influence vers l'Ouest.
La guerre à l'Est modèle le visage de l'Europe pour plus d'un demi-siècle. On en mesure encore les conséquences aujourd'hui.
La guerre qui oppose l'Union Soviétique et l'Allemagne nazie du 22 juin 1941 au 8 mai 1945 est celle de tous les superlatifs. D'abord, elle se déroule sur le plus grand théâtre d'opération terrestre de la Seconde Guerre mondiale et probablement de l'histoire de l'humanité. Ce front mobile, où alternent les offensives allemandes et soviétiques, effectue un aller-retour à travers l'ouest de l'Union Soviétique puis traverse l'Europe centrale, de la Baltique à la Méditerranée.
Ensuite, la lutte acharnée que se livrent les deux régimes totalitaires entraîne une mobilisation extraordinaire des économies et des sociétés. Elle débouche sur des destructions et des pertes humaines d'une ampleur inédite en raison des combats, des déportations de populations, des massacres, des crimes de guerre mais aussi des maladies et de la faim. Le front de l'Est est aussi un front de la mort où règne l'idéologie.
A partir de 1943, l'Allemagne s'érige en rempart face à l'expansion du bolchevisme. Pour le régime soviétique, le front de l'Est est d'abord une question de survie. L'Union Soviétique répond à la guerre à mort que lui impose l'Allemagne nazie avec la brutalité d'un état totalitaire. Sans l'Union Soviétique, quelle aurait été l'issue de la Seconde Guerre mondiale ? La mobilisation de la population en Union Soviétique, une industrie qui tourne à plein régime et l'immense aide matérielle américaine permettent à l'URSS de résister, d'user son adversaire et enfin d'étendre son influence vers l'Ouest.
La guerre à l'Est modèle le visage de l'Europe pour plus d'un demi-siècle. On en mesure encore les conséquences aujourd'hui.