Le foetus récalcitrant

Par : Gustave Henri Jossot
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  • Nombre de pages125
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.176 kg
  • Dimensions12,2 cm × 17,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-912667-86-1
  • EAN9782912667861
  • Date de parution21/01/2011
  • ÉditeurFinitude Editions
  • AnnotateurHenri Viltard

Résumé

" Quand un foetus récalcitrant ne manifeste qu'un médiocre empressement à sortir des entrailles maternelles, on va quérir les forceps et, sans tenir compte de ses cris de protestation, on l'introduit dans la vie ". Ce sont les premières lignes du livre de Jossot, caricaturiste anarchiste, récalcitrant, qui dans ce texte fustige, entre autres choses, l'éducation imposée aux enfants par les parents (" des scorpions ") ou les enseignants (" des déformateurs de cerveau "). Seule sa vocation artistique, affirme-t-il, lui a permis d'échapper au " dressage " et de rester libre. Mais pour Jossot, il est une vertu indispensable à la liberté : la paresse. Dans l'Évangile de la paresse, second texte de ce petit livre, il détaille avec humour mais surtout avec virulence tous les maux engendrés par le travail et son corollaire, la cupidité. L'esclavage, la colonisation, les dérives de la science ou l'épuisement de la nature sont les conséquences de l'activité des industrieux, qui inventent sans cesse de nouveaux besoins pour inciter l'homme à travailler plus encore. Tout cela reste plus que jamais d'actualité...
" Quand un foetus récalcitrant ne manifeste qu'un médiocre empressement à sortir des entrailles maternelles, on va quérir les forceps et, sans tenir compte de ses cris de protestation, on l'introduit dans la vie ". Ce sont les premières lignes du livre de Jossot, caricaturiste anarchiste, récalcitrant, qui dans ce texte fustige, entre autres choses, l'éducation imposée aux enfants par les parents (" des scorpions ") ou les enseignants (" des déformateurs de cerveau "). Seule sa vocation artistique, affirme-t-il, lui a permis d'échapper au " dressage " et de rester libre. Mais pour Jossot, il est une vertu indispensable à la liberté : la paresse. Dans l'Évangile de la paresse, second texte de ce petit livre, il détaille avec humour mais surtout avec virulence tous les maux engendrés par le travail et son corollaire, la cupidité. L'esclavage, la colonisation, les dérives de la science ou l'épuisement de la nature sont les conséquences de l'activité des industrieux, qui inventent sans cesse de nouveaux besoins pour inciter l'homme à travailler plus encore. Tout cela reste plus que jamais d'actualité...