Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Pour célébrer la nuit du nouvel an, le Roi d'un immense empire offre une fête en son château. De tout le Royaume, les nobles invités se pressent...
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Livré chez vous entre le 14 décembre et le 17 décembre
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Résumé
Pour célébrer la nuit du nouvel an, le Roi d'un immense empire offre une fête en son château. De tout le Royaume, les nobles invités se pressent pour déposer aux pieds de Sa Majesté des cadeaux rivalisant de splendeur. A minuit, Johann Kepler, jeune mathématicien de la cour se présente devant le Roi avec pour unique cadeau, un flocon de neige...
L’adaptation dans un style raffiné d’un conte fantastique du XVIIème siècle, (qui tient carrément plus d’ailleurs de la fable philosophique), accompagné d’illustrations noir et blanc d’une minutie à couper le souffle.
Le message tient en peu de mots :
Qui sommes nous, pauvres humains, pour nous croire supérieurs à la puissance de la nature, et le savoir, les certitudes scientifiques, et l’ opulence, sont-ils plus précieux que la simple et pure beauté qu’offre celle-ci, tel un flocon, éphémère, dérisoire, qui, vu à la lunette magique révèle une source d’émerveillement
inépuisable ?
Le roi de l’histoire, un peu plus finaud que la majorité de ses courtisans l’a bien compris, mais sera cependant la victime de leur bêtise et de leur vanité…
L'éditeur en parle
Une parabole merveilleuse et terrible servie par les illustrations à couper le souffle de Laurent Gapaillard.
Eblouissant
L’adaptation dans un style raffiné d’un conte fantastique du XVIIème siècle, (qui tient carrément plus d’ailleurs de la fable philosophique), accompagné d’illustrations noir et blanc d’une minutie à couper le souffle.
Le message tient en peu de mots :
Qui sommes nous, pauvres humains, pour nous croire supérieurs à la puissance de la nature, et le savoir, les certitudes scientifiques, et l’ opulence, sont-ils plus précieux que la simple et pure beauté qu’offre celle-ci, tel un flocon, éphémère, dérisoire, qui, vu à la lunette magique révèle une source d’émerveillement inépuisable ?
Le roi de l’histoire, un peu plus finaud que la majorité de ses courtisans l’a bien compris, mais sera cependant la victime de leur bêtise et de leur vanité…