La "tendresse ardente " de Danièle Corre est " drapée d'eau et de cendres " ; douceur parfois minée par le " feu/ sur des terres à vent " ; le poème " tient le fil de nos trames " dans notre " coeur criblé " adouci par " la joie des mains/ qui gravent ", qui " dénouent l'écheveau des routes "
La "tendresse ardente " de Danièle Corre est " drapée d'eau et de cendres " ; douceur parfois minée par le " feu/ sur des terres à vent " ; le poème " tient le fil de nos trames " dans notre " coeur criblé " adouci par " la joie des mains/ qui gravent ", qui " dénouent l'écheveau des routes "