Le fardeau de l'homme blanc. L'échec des politiques occidentales d'aide aux pays pauvres
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- Nombre de pages512
- PrésentationBroché
- Poids0.66 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-940427-02-4
- EAN9782940427024
- Date de parution03/09/2009
- ÉditeurMarkus Haller
- TraducteurPatrick Hersant
- TraducteurSylvie Kleiman-Lafon
Résumé
Depuis les années cinquante, les pays riches ont dépensé 2 300 milliards de dollars pour l'aide au développement - sans réussir à éradiquer la pauvreté. Que s'est-il passé ? L'économiste William Easterly analyse cet échec en démontant les mythes de l'aide au développement, souvent dus à l'illusion de l'homme blanc de pouvoir planifier le progrès des pays pauvres. Selon Easterly, les pays pauvres n'ont besoin ni d'une "aide massive" sous la forme d'une injection de capitaux, ni d'une "thérapie de choc" administrée par le Fonds monétaire international, ni d'un paternalisme appuyé par les armées de l'homme blanc.
Ils ont besoin de développer leurs propres marchés. Les pays riches devraient les épauler dans leurs efforts concrets, issus de leur propre inventivité, plutôt que leur imposer un modèle économique préconçu. Une analyse qui pourrait servir de base à une critique raisonnée, de la pensée figée et du triomphalisme politique d'une partie de la littérature sur le développement économique. Amartya Sen, lauréat du prix Nobel d'économie
Ils ont besoin de développer leurs propres marchés. Les pays riches devraient les épauler dans leurs efforts concrets, issus de leur propre inventivité, plutôt que leur imposer un modèle économique préconçu. Une analyse qui pourrait servir de base à une critique raisonnée, de la pensée figée et du triomphalisme politique d'une partie de la littérature sur le développement économique. Amartya Sen, lauréat du prix Nobel d'économie
Depuis les années cinquante, les pays riches ont dépensé 2 300 milliards de dollars pour l'aide au développement - sans réussir à éradiquer la pauvreté. Que s'est-il passé ? L'économiste William Easterly analyse cet échec en démontant les mythes de l'aide au développement, souvent dus à l'illusion de l'homme blanc de pouvoir planifier le progrès des pays pauvres. Selon Easterly, les pays pauvres n'ont besoin ni d'une "aide massive" sous la forme d'une injection de capitaux, ni d'une "thérapie de choc" administrée par le Fonds monétaire international, ni d'un paternalisme appuyé par les armées de l'homme blanc.
Ils ont besoin de développer leurs propres marchés. Les pays riches devraient les épauler dans leurs efforts concrets, issus de leur propre inventivité, plutôt que leur imposer un modèle économique préconçu. Une analyse qui pourrait servir de base à une critique raisonnée, de la pensée figée et du triomphalisme politique d'une partie de la littérature sur le développement économique. Amartya Sen, lauréat du prix Nobel d'économie
Ils ont besoin de développer leurs propres marchés. Les pays riches devraient les épauler dans leurs efforts concrets, issus de leur propre inventivité, plutôt que leur imposer un modèle économique préconçu. Une analyse qui pourrait servir de base à une critique raisonnée, de la pensée figée et du triomphalisme politique d'une partie de la littérature sur le développement économique. Amartya Sen, lauréat du prix Nobel d'économie