Le Duc de Bourgogne. Promesses et mirages du petit-fils de Louis XIV
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- Nombre de pages392
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.49 kg
- Dimensions14,4 cm × 21,3 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-262-10059-9
- EAN9782262100599
- Date de parution06/02/2025
- ÉditeurPerrin
Résumé
Aujourd'hui moins connu que sa femme Marie-Adélaide de Savoie - coqueluche d'un Roi-Soleil vieillissant-, Louis de France (1682-1712), duc de Bourgogne, incarna pourtant à son époque l'espoir de tous ceux, parmi lesquels Saint-Simon, qui militaient pour une réforme de la monarchie. Héritier de la couronne, le petit-fils de Louis XIV avait en effet reçu l'éducation princière la plus soignée, dispensée sous la brillante férule de Fénelon, qui écrivit pour lui Les Aventures de Télémaque.
Conscient de ses devoirs, animé par la volonté de bien faire, cet archétype du prince chrétien se préparait à exercer le pouvoir dans le sens d'une plus grande justice, en un temps où la France aspirait à la paix et à la prospérité. Mort à 29 ans en 1712, un an après son père, le Grand Dauphin, il ne put toutefois mettre en oeuvre son programme et tenir les promesses placées en lui. Si ce prince, père de Louis XV, était encore donné en modèle à Louis XVI et à ses frères, la postérité ne l'a pourtant pas toujours pris en bonne part.
Souvent dénoncés - à la suite de Michelet -, ses scrupules religieux excessifs, son caractère réputé faible et influençable, son rôle dans la défaite militaire d'Audenarde en 1708, ses préjugés aristocratiques contribuèrent à ternir son image. Dans cette biographie exemplaire, Jean de La Rochefoucauld rend sa place - assurément une des toutes premières - à ce personnage aussi attachant que déroutant, au-delà des légendes et des caricatures.
Conscient de ses devoirs, animé par la volonté de bien faire, cet archétype du prince chrétien se préparait à exercer le pouvoir dans le sens d'une plus grande justice, en un temps où la France aspirait à la paix et à la prospérité. Mort à 29 ans en 1712, un an après son père, le Grand Dauphin, il ne put toutefois mettre en oeuvre son programme et tenir les promesses placées en lui. Si ce prince, père de Louis XV, était encore donné en modèle à Louis XVI et à ses frères, la postérité ne l'a pourtant pas toujours pris en bonne part.
Souvent dénoncés - à la suite de Michelet -, ses scrupules religieux excessifs, son caractère réputé faible et influençable, son rôle dans la défaite militaire d'Audenarde en 1708, ses préjugés aristocratiques contribuèrent à ternir son image. Dans cette biographie exemplaire, Jean de La Rochefoucauld rend sa place - assurément une des toutes premières - à ce personnage aussi attachant que déroutant, au-delà des légendes et des caricatures.
Aujourd'hui moins connu que sa femme Marie-Adélaide de Savoie - coqueluche d'un Roi-Soleil vieillissant-, Louis de France (1682-1712), duc de Bourgogne, incarna pourtant à son époque l'espoir de tous ceux, parmi lesquels Saint-Simon, qui militaient pour une réforme de la monarchie. Héritier de la couronne, le petit-fils de Louis XIV avait en effet reçu l'éducation princière la plus soignée, dispensée sous la brillante férule de Fénelon, qui écrivit pour lui Les Aventures de Télémaque.
Conscient de ses devoirs, animé par la volonté de bien faire, cet archétype du prince chrétien se préparait à exercer le pouvoir dans le sens d'une plus grande justice, en un temps où la France aspirait à la paix et à la prospérité. Mort à 29 ans en 1712, un an après son père, le Grand Dauphin, il ne put toutefois mettre en oeuvre son programme et tenir les promesses placées en lui. Si ce prince, père de Louis XV, était encore donné en modèle à Louis XVI et à ses frères, la postérité ne l'a pourtant pas toujours pris en bonne part.
Souvent dénoncés - à la suite de Michelet -, ses scrupules religieux excessifs, son caractère réputé faible et influençable, son rôle dans la défaite militaire d'Audenarde en 1708, ses préjugés aristocratiques contribuèrent à ternir son image. Dans cette biographie exemplaire, Jean de La Rochefoucauld rend sa place - assurément une des toutes premières - à ce personnage aussi attachant que déroutant, au-delà des légendes et des caricatures.
Conscient de ses devoirs, animé par la volonté de bien faire, cet archétype du prince chrétien se préparait à exercer le pouvoir dans le sens d'une plus grande justice, en un temps où la France aspirait à la paix et à la prospérité. Mort à 29 ans en 1712, un an après son père, le Grand Dauphin, il ne put toutefois mettre en oeuvre son programme et tenir les promesses placées en lui. Si ce prince, père de Louis XV, était encore donné en modèle à Louis XVI et à ses frères, la postérité ne l'a pourtant pas toujours pris en bonne part.
Souvent dénoncés - à la suite de Michelet -, ses scrupules religieux excessifs, son caractère réputé faible et influençable, son rôle dans la défaite militaire d'Audenarde en 1708, ses préjugés aristocratiques contribuèrent à ternir son image. Dans cette biographie exemplaire, Jean de La Rochefoucauld rend sa place - assurément une des toutes premières - à ce personnage aussi attachant que déroutant, au-delà des légendes et des caricatures.