Le divan double
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- Nombre de pages145
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.22 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-38638-085-3
- EAN9782386380853
- Date de parution01/06/2024
- ÉditeurUnicité
Résumé
Ce fut d'abord une aventure en solitaire d'une poétesse - Aline Angoustures - avec des vagues de poèmes pour dire quelque chose comme un amour, comme de l'amour, comme un attrait physique irrépressible, impossible et réprimé cependant mais passant tout dans le suc érotique des mots. Longtemps après... que cette troubadour des temps contemporains a su exprimer tout le désir et le plaisir même que communique l'expression amoureuse, alors que l'amour resta ce désir sans rencontre chamelle avec le sujet aimé, elle fit lire ses poèmes à un ami - Philippe Moron - qui répondit d'étrange manière : il se confondit avec la femme troubadour et échangea au miroir des années, des thèmes et ici des pages avec des poèmes en symétrie.
Est-ce par un défaut premier d'audace ? ou par bravoure et bravade ? par un délicieux et troublant désir de devenir l'autre qui dit si bien le désir en en chantant les manques ? Un 3e temps et l'ami-poète, aussi fin dessinateur et peintre sensuel de beautés, reprend la plume et fait entrer la rencontre chamelle à l'intérieur du dialogue poétique, on pourrait dire un fantasme plus loin rejoindre, étreindre par les mots le corps donné en verbes et toujours dans une langue qui chante.
Avec une délicieuse indécision sur qui écrit quoi exactement dans ce final... Quelle belle aventure de langue, de langage, de rencontre, de désir, de phantasmes et de poésie à rencontrer des forces qui dépassent les mots dans leur ordinaire, aventure de langue, d'autant plus forte et belle que venant embrasser la langue des troubadours, poètes de l'amour courtois, jusqu'à interroger ses limites et son au-delà (dans notre monde pressé, immédiat, obscène ou pudibond qui ne voit dans les mots que vecteurs d'efficacité prosaïque ou mots affadis, aplatis par les conventions et les nonnes...).
Qui sait si un 4e temps ne verra pas lecteur ou lectrice, dessinateur, dessinatrice, peintre, entrer dans la sarabande des désirs, la circulation inouïe des sens poétiques - et composer ses poèmes, ses traits, ses couleurs dans les blancs du texte, dans ces espaces de distance, de latence et de silence, amor de lohn, amor d'imago, amor de cante ? ! Laurent Desvoux-d'Yrek.
Est-ce par un défaut premier d'audace ? ou par bravoure et bravade ? par un délicieux et troublant désir de devenir l'autre qui dit si bien le désir en en chantant les manques ? Un 3e temps et l'ami-poète, aussi fin dessinateur et peintre sensuel de beautés, reprend la plume et fait entrer la rencontre chamelle à l'intérieur du dialogue poétique, on pourrait dire un fantasme plus loin rejoindre, étreindre par les mots le corps donné en verbes et toujours dans une langue qui chante.
Avec une délicieuse indécision sur qui écrit quoi exactement dans ce final... Quelle belle aventure de langue, de langage, de rencontre, de désir, de phantasmes et de poésie à rencontrer des forces qui dépassent les mots dans leur ordinaire, aventure de langue, d'autant plus forte et belle que venant embrasser la langue des troubadours, poètes de l'amour courtois, jusqu'à interroger ses limites et son au-delà (dans notre monde pressé, immédiat, obscène ou pudibond qui ne voit dans les mots que vecteurs d'efficacité prosaïque ou mots affadis, aplatis par les conventions et les nonnes...).
Qui sait si un 4e temps ne verra pas lecteur ou lectrice, dessinateur, dessinatrice, peintre, entrer dans la sarabande des désirs, la circulation inouïe des sens poétiques - et composer ses poèmes, ses traits, ses couleurs dans les blancs du texte, dans ces espaces de distance, de latence et de silence, amor de lohn, amor d'imago, amor de cante ? ! Laurent Desvoux-d'Yrek.
Ce fut d'abord une aventure en solitaire d'une poétesse - Aline Angoustures - avec des vagues de poèmes pour dire quelque chose comme un amour, comme de l'amour, comme un attrait physique irrépressible, impossible et réprimé cependant mais passant tout dans le suc érotique des mots. Longtemps après... que cette troubadour des temps contemporains a su exprimer tout le désir et le plaisir même que communique l'expression amoureuse, alors que l'amour resta ce désir sans rencontre chamelle avec le sujet aimé, elle fit lire ses poèmes à un ami - Philippe Moron - qui répondit d'étrange manière : il se confondit avec la femme troubadour et échangea au miroir des années, des thèmes et ici des pages avec des poèmes en symétrie.
Est-ce par un défaut premier d'audace ? ou par bravoure et bravade ? par un délicieux et troublant désir de devenir l'autre qui dit si bien le désir en en chantant les manques ? Un 3e temps et l'ami-poète, aussi fin dessinateur et peintre sensuel de beautés, reprend la plume et fait entrer la rencontre chamelle à l'intérieur du dialogue poétique, on pourrait dire un fantasme plus loin rejoindre, étreindre par les mots le corps donné en verbes et toujours dans une langue qui chante.
Avec une délicieuse indécision sur qui écrit quoi exactement dans ce final... Quelle belle aventure de langue, de langage, de rencontre, de désir, de phantasmes et de poésie à rencontrer des forces qui dépassent les mots dans leur ordinaire, aventure de langue, d'autant plus forte et belle que venant embrasser la langue des troubadours, poètes de l'amour courtois, jusqu'à interroger ses limites et son au-delà (dans notre monde pressé, immédiat, obscène ou pudibond qui ne voit dans les mots que vecteurs d'efficacité prosaïque ou mots affadis, aplatis par les conventions et les nonnes...).
Qui sait si un 4e temps ne verra pas lecteur ou lectrice, dessinateur, dessinatrice, peintre, entrer dans la sarabande des désirs, la circulation inouïe des sens poétiques - et composer ses poèmes, ses traits, ses couleurs dans les blancs du texte, dans ces espaces de distance, de latence et de silence, amor de lohn, amor d'imago, amor de cante ? ! Laurent Desvoux-d'Yrek.
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Avec une délicieuse indécision sur qui écrit quoi exactement dans ce final... Quelle belle aventure de langue, de langage, de rencontre, de désir, de phantasmes et de poésie à rencontrer des forces qui dépassent les mots dans leur ordinaire, aventure de langue, d'autant plus forte et belle que venant embrasser la langue des troubadours, poètes de l'amour courtois, jusqu'à interroger ses limites et son au-delà (dans notre monde pressé, immédiat, obscène ou pudibond qui ne voit dans les mots que vecteurs d'efficacité prosaïque ou mots affadis, aplatis par les conventions et les nonnes...).
Qui sait si un 4e temps ne verra pas lecteur ou lectrice, dessinateur, dessinatrice, peintre, entrer dans la sarabande des désirs, la circulation inouïe des sens poétiques - et composer ses poèmes, ses traits, ses couleurs dans les blancs du texte, dans ces espaces de distance, de latence et de silence, amor de lohn, amor d'imago, amor de cante ? ! Laurent Desvoux-d'Yrek.