Le deuxième Synode africain

Par : Maurice Cheza

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  • Nombre de pages435
  • PrésentationBroché
  • Poids0.72 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 3,1 cm
  • ISBN978-2-8111-0848-9
  • EAN9782811108489
  • Date de parution30/05/2013
  • CollectionChrétiens en liberté
  • ÉditeurKarthala
  • PréfacierNicolas Djomo

Résumé

Le deuxième Synode africain s’est tenu à Rome du 4 au 25 octobre 2009. Face aux souffrances et aux injustices subies par de nombreux Africains, il a cherché à mettre l’Église « au service de la réconciliation, de la justice et de la paix ». Pendant trois semaines, les 244 membres et 49 auditeurs et auditrices ont pu partager leurs opinions et souhaits. On trouvera dans cet ouvrage les grands textes du Synode : les deux communications du cardinal Peter Turkson, rapporteur général, le message final de l’assemblée, les 57 propositions transmises au pape et, bien sûr, l’exhortation apostolique post-synodale Africæ munus, remise par Benoît XVI aux évêques africains lors de sa visite au Bénin le 20 novembre 2011.
Mais le Synode favorise aussi un important brassage d’idées. Les grands textes n’épuisent donc pas la richesse de ce rassemblement. Et comme il est rare que des évêques de terrain et des laïcs, femmes et hommes, aient l’occasion de s’exprimer devant une telle assemblée de cardinaux et d’évêques, on a voulu sauvegarder ici une centaine de leurs avis. Dans la préface, Mgr Djomo, président de la Conférence épiscopale de la RDC, n’hésite pas à parler d’une « précieuse mine d’or pour quiconque veut mener une étude sur le deuxième Synode africain ».
Le livre contient aussi un intéressant chapitre historique qui retrace l’évolution des relations entre les Églises catholiques d’Afrique et le Siège de Pierre, entre 1956 (publication du livre Des prêtres noirs s’interrogent) et le deuxième Synode. Face au souhait d’un concile africain, exprimé fortement et à plusieurs reprises, Rome a répondu par l’organisation de deux synodes romains. Peut-on y voir une étape vers un futur concile africain ? Maurice Cheza, prêtre du diocèse de Namur (Belgique), est théologien et professeur émérite de l’Université catholique de Louvain.
Spécialiste de l’interculturalité théologique, il a enseigné pendant plusieurs années au grand séminaire de Lubumbashi (RDC) et a publié un ouvrage sur le premier Synode africain (Karthala). Avec Gérard van ’t Spijker, il a édité un recueil de textes intitulé Théologiens et théologiennes dans l’Afrique d’aujourd’hui (Karthala).
Le deuxième Synode africain s’est tenu à Rome du 4 au 25 octobre 2009. Face aux souffrances et aux injustices subies par de nombreux Africains, il a cherché à mettre l’Église « au service de la réconciliation, de la justice et de la paix ». Pendant trois semaines, les 244 membres et 49 auditeurs et auditrices ont pu partager leurs opinions et souhaits. On trouvera dans cet ouvrage les grands textes du Synode : les deux communications du cardinal Peter Turkson, rapporteur général, le message final de l’assemblée, les 57 propositions transmises au pape et, bien sûr, l’exhortation apostolique post-synodale Africæ munus, remise par Benoît XVI aux évêques africains lors de sa visite au Bénin le 20 novembre 2011.
Mais le Synode favorise aussi un important brassage d’idées. Les grands textes n’épuisent donc pas la richesse de ce rassemblement. Et comme il est rare que des évêques de terrain et des laïcs, femmes et hommes, aient l’occasion de s’exprimer devant une telle assemblée de cardinaux et d’évêques, on a voulu sauvegarder ici une centaine de leurs avis. Dans la préface, Mgr Djomo, président de la Conférence épiscopale de la RDC, n’hésite pas à parler d’une « précieuse mine d’or pour quiconque veut mener une étude sur le deuxième Synode africain ».
Le livre contient aussi un intéressant chapitre historique qui retrace l’évolution des relations entre les Églises catholiques d’Afrique et le Siège de Pierre, entre 1956 (publication du livre Des prêtres noirs s’interrogent) et le deuxième Synode. Face au souhait d’un concile africain, exprimé fortement et à plusieurs reprises, Rome a répondu par l’organisation de deux synodes romains. Peut-on y voir une étape vers un futur concile africain ? Maurice Cheza, prêtre du diocèse de Namur (Belgique), est théologien et professeur émérite de l’Université catholique de Louvain.
Spécialiste de l’interculturalité théologique, il a enseigné pendant plusieurs années au grand séminaire de Lubumbashi (RDC) et a publié un ouvrage sur le premier Synode africain (Karthala). Avec Gérard van ’t Spijker, il a édité un recueil de textes intitulé Théologiens et théologiennes dans l’Afrique d’aujourd’hui (Karthala).