Le dernier "parrain" français. François Marcantoni

Par : Christian Chatillon
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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.37 kg
  • Dimensions16,7 cm × 22,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-492545-01-6
  • EAN9782492545016
  • Date de parution14/04/2021
  • ÉditeurJacques-Marie Laffont

Résumé

1941 : le jeune homme a intégré le prestigieux Arsenal, à Toulon, en tant qu'artificier. La guerre vient d'éclater. Le 27 novembre 1942, il participe au sabordage de la flotte. Comme de nombreux compatriotes insulaires, il intègre le réseau de Résistance du Var, les MUR. 1953 : François Marcantoni s'est converti... en gangster ! Parrainé par deux compatriotes, le voilà devenu homme du Milieu à Paris.
L'un de ses frères, resté à Toulon, tient un bar dans le "Petit Chicago" de la ville. Quand il est en permission, Marcantoni croise l'un des marins assidus de l'établissement : Alain Delon. Le début d'une amitié à rebondissements ! 1968 : les événements de mai sont terminés, mais ils laissent des traces au sommet de l'Etat. De Gaulle impute en coulisses la chienlit de la crise à son Premier ministre, Georges Pompidou.
Dans ce contexte, le 1er octobre, le cadavre d'un Yougoslave, Stevan Markovic, va déclencher l'une des pires tempêtes que la Ve République ait affrontées. En guest stars : le couple Pompidou et Main Delon. En porteur de borsalino : François Marcantoni. C'est ce destin hors normes que, un peu plus de dix ans après la mort du "Commandant", Christian Chatillon fait revivre. Un récit personnel de l'auteur adressé à celui qui lui avait donné son amitié.
Une amitié corse ; c'est tout dire.
1941 : le jeune homme a intégré le prestigieux Arsenal, à Toulon, en tant qu'artificier. La guerre vient d'éclater. Le 27 novembre 1942, il participe au sabordage de la flotte. Comme de nombreux compatriotes insulaires, il intègre le réseau de Résistance du Var, les MUR. 1953 : François Marcantoni s'est converti... en gangster ! Parrainé par deux compatriotes, le voilà devenu homme du Milieu à Paris.
L'un de ses frères, resté à Toulon, tient un bar dans le "Petit Chicago" de la ville. Quand il est en permission, Marcantoni croise l'un des marins assidus de l'établissement : Alain Delon. Le début d'une amitié à rebondissements ! 1968 : les événements de mai sont terminés, mais ils laissent des traces au sommet de l'Etat. De Gaulle impute en coulisses la chienlit de la crise à son Premier ministre, Georges Pompidou.
Dans ce contexte, le 1er octobre, le cadavre d'un Yougoslave, Stevan Markovic, va déclencher l'une des pires tempêtes que la Ve République ait affrontées. En guest stars : le couple Pompidou et Main Delon. En porteur de borsalino : François Marcantoni. C'est ce destin hors normes que, un peu plus de dix ans après la mort du "Commandant", Christian Chatillon fait revivre. Un récit personnel de l'auteur adressé à celui qui lui avait donné son amitié.
Une amitié corse ; c'est tout dire.